BHL : Nuit blanche, bonheur du jour...

Après avoir lu Nuit blanche de Bernard-Henri Lévy, aussi discutable que soit cette première impression, j'ai songé aux Mots de Jean-Paul Sartre.

Il y a en effet, dans la tonalité générale de ce livre, une introspection sans complaisance qui, toutes proportions gardées, m'a semblé relever du genre que Sartre avait magnifié en offrant, grâce à la littérature, un déchirant adieu à la littérature.

Nuit blanche, cependant, m'apparaît comme un objet littéraire non identifiable dans les multiples créations de BHL.

Le style est étincelant comme d'habitude mais il s'autorise plus de légèreté, des facilités délibérées, presque une décontraction qui s'adapte parfaitement au fond de cette oeuvre inclassable. J'apprécie qu'elle soit irriguée par une riche culture, omniprésente mais pourtant éloignée de toute ostentation, glissée avec simplicité dans des pages qu'elle enrichit mais sans jamais usurper la place de l'essentiel.

Cet essentiel pourrait ressembler à une comédie de Molière puisqu'il s'agit pour BHL de nous exposer les mille manières de ne pas dormir, de tenter de guérir ses insomnies, de nous présenter, avec une précision détaillée dont l'auteur s'amuse, une pharmacopée destinée à faciliter les endormissements, puis les réveils, à réparer les effets contrastés d'un sommeil trop lourd, d'une veille trop longue, dans des péripéties à la fois plausibles et burlesques.

On découvre un BHL extrêmement doué pour le comique, les scènes hilarantes (ses rapports avec le chat!) et, au-delà, pour la relation de sa quotidienneté, allant, avec beaucoup de délicatesse, jusqu'à évoquer ses liens et les modalités de leur union avec celle qu'il nomme A.

J'avoue avoir ressenti, comme une heureuse surprise, la découverte de ce BHL familier, presque prosaïque, sorti du ciel des idées et nous révélant, sans la moindre retenue ni volonté de se faire "bien voir", ses maux, ses faiblesses, ses limites, ses imperfections. Il échappe à ce qu'il pourrait y avoir d'artificiel dans ce type de narration, ne tombant jamais dans une sincérité faussement contrite ou un narcissisme feignant la modestie. Lui-même a dû, j'en suis sûr, éprouver comme une allégresse à ouvrir grandes les fenêtres du systématiquement sérieux, de l'implacablement grave pour s'abandonner moins à du futile qu'à une nostalgie pour une enfance, une jeunesse, des blagues, des joies collectives, des amitiés, des fraternités où le BHL d'aujourd'hui n'était même pas en germe.

UN BHL écrivant un livre, sans que la pensée, la politique et les tragédies internationales aient leur place, ne serait pas concevable. Mais sur ce plan également il n'hésite pas à changer de ton et à nous faire entrer en quelque sorte dans les coulisses de son esprit et de sa personnalité. On ne peut que se réjouir de l'effacement de ce qui souvent a pu agacer chez lui : une assurance, presque une arrogance qui excluaient toute contradiction parce que de son côté était le Vrai, le Beau et le Bien.

Alors que dans Nuit blanche il n'hésite pas, non à se fragiliser c'est le contraire, mais à s'expliquer, à exalter ses maîtres et ses inspirateurs, à évoquer des disparus qui me manquent également - par exemple Thierry Lévy.

Il se défend de tout manichéisme et avoue l'existence, en lui, au moins de deux BHL : l'un qui défend Israël et l'autre qui s'émeut en même temps de la mort des enfants de Gaza. Il dévoile ainsi les affres d'une personnalité que son indépassable talent pour l'écriture et l'oralité réduit parfois et prive de ses doutes, de ses complexités.

À l'issue de la lecture de ce petit livre enlevé, spirituel, brillant, intime sans impudeur, politique sans hostilité - pourtant il les connaît, ces ennemis acharnés, haineux qui veulent sa perte au point de le contraindre à une protection permanente ! -, je rejoins mon sentiment initial.

On a envie d'aller plus loin que ces pages et de rencontrer cette personnalité, cet auteur qui ont donné d'eux une belle image. De poursuivre le dialogue qu'il a entretenu avec lui-même.

Comments

[Rédigé par : Jean sans terre]

@ Robert Marchenoir

Je vous prie d’excuser ma méprise et de n’avoir pas déposé ma réponse dans le billet idoine.

Vous manquez un peu trop à la politesse. Éructer en public est inconvenant. Je suppose qu’il ne vous est pas possible de vous contenir. Je m’inquiète sérieusement pour votre santé. L’humeur atrabilaire est quelquefois le signe que les hypocondres sont atteints.

[Rédigé par : Robert Marchenoir]

@ Jean sans terre | 13 janvier 2025 à 14:56
"Il n’apparaît pas de prime abord que trente lignes de diatribe améliorent d’une quelconque manière le sort des Français. Dites donc Marchenoir, ne sauriez-vous qu’élucubrer en long et en travers sur ce qu’à tort vous supposez de la psychologie de vos contradicteurs ? Au lieu de dénoncer outrancièrement ceux qui vous irritent, soyez franc et constructif, mettez en valeur positivement ce qui vous paraît meilleur ou préférable."

Votre arrogance infinie de petit prof fasciste est assez comique.

Il y a effectivement beaucoup de choses qui ne vous apparaissent pas de prime abord, pas plus qu'au second ni au troisième.

Vos exhortations ne sont guère plus convaincantes que celles des petits flics gauchistes qui pullulent ici ou là, et qui ne considèrent "constructif" que ce qui se soumet rigoureusement à leur idéologie pourrie.

En l'occurrence, c'est vous le destructeur systématique, le nihiliste professionnel, le type qui nous serine soir et matin que tout est perdu sous prétexte qu'un roi s'est fait décapiter il y a deux cent cinquante ans.

Je détruis ce que je veux, je construis ce que j'estime meilleur et je vous emm...

À part ça, je n'ai soumis aucun commentaire sous cet article consacré à Bernard-Henri Lévy. Vous pourriez au moins avoir la correction de ne pas répandre votre moraline douguiniste n'importe où, et de vous en tenir au sujet.

[Rédigé par : Jean sans terre]

@ Robert Marchenoir

Il n’apparaît pas de prime abord que trente lignes de diatribe améliorent d’une quelconque manière le sort des Français. Dites donc Marchenoir, ne sauriez-vous qu’élucubrer en long et en travers sur ce qu’à tort vous supposez de la psychologie de vos contradicteurs ?
Au lieu de dénoncer outrancièrement ceux qui vous irritent, soyez franc et constructif, mettez en valeur positivement ce qui vous paraît meilleur ou préférable.

[Rédigé par : Giuseppe]

@ Aliocha | 12 janvier 2025 à 01:04

Quand on s'expose et c'est manifestement son cas, en retour on s'expose à recevoir le bien comme le mal. BHL et sa précieuse maniérée, parfois ridicule, le font sans modération, alors les coups peuvent pleuvoir. Ce n'est pas la rançon du succès, il vend peu de livres, à part les convaincus, les groupies et les poissons rouges, on ne peut pas dire qu'il fasse un carton.

C'est duvent qui a dit que quand on s'expose on ne pleurniche pas de se faire secouer et ne rechigne pas quand on se prend un coup de "saton" dans un ruck.
Le talent de ce philosophe de bazar dont l'excellent genau a soulevé un problème, comment un falsificateur de terrain pourrait-il faire vivre des pages héroïques à lire, pour y croire.

Ce qu'il écrit sent le faux et le rance, son style, s'il en a un, est une mécanique de sa formation universitaire, l'IA peut vous pondre du BHL à profusion. Alors il embrasse beaucoup, il s'embrasse aussi, il étreint peu, c'est le pire et le commun de tous ces ventilateurs qui viennent sur les médias faire du spectacle, leur cirque.
Je ne dis pas, parfois il est sincère, mais sa volatilité d'apparition et celle de sa pintade superficielle, à force cela tue la crédibilité. Quand c'est trop c'est trop, je ne continue pas la suite mais ça leur va bien.

Elle adore ça.
Elle s'adore dans toutes les postures, surtout souvent dévêtue, les jeunes en rigolent.

[Rédigé par : hameau dans les nuages]

Le général de Gaulle aurait dit : "sûr de lui et dominateur".

https://www.reddit.com/r/france/comments/idrjoz/bernardhenri_levy_un_grand_homme/?tl=fr#lightbox

[Rédigé par : Aliocha]

Les désaccords qu'on peut avoir avec la pensée de BHL ne devraient pas empêcher de respecter le talent de la personne et la sincérité de son engagement.
Si on veut que la démocratie accède à l'âge adulte, il est indispensable de renoncer au fétichisme infantile des lynchages.
L'incendie démagogue américain donne à l'Europe l'occasion d'exercer son savoir historique pour formuler le choix proposé à l'humanité, exercer la liberté de discerner le bien et le mal, ou la mort.

[Rédigé par : Giuseppe]

Pour moi ce sera la dernière, dans Pure People :

https://www.msn.com/fr-fr/sante/esprit-et-corps/j-ai-essay%C3%A9-tous-les-rem%C3%A8des-rien-n-a-march%C3%A9-bernard-henri-l%C3%A9vy-impact%C3%A9-par-un-syndrome-qui-touche-15-%C3%A0-20-de-fran%C3%A7ais/ar-BB1rikOe?ocid=msedgdhp&pc=EDGEESS&cvid=0b424d2cc5c4455c89dceed0e3596da1&ei=81

Bon il nous en fait des caisses de son insomnie, et puis ses références dans le même cas c'est pas le pékin du coin, que du beau linge semble-t-il... Ses ventes sont en chute libre, s'il pense faire mieux après tout ce battage médiatique, il peut en rêver, dans le cas contraire qu'il arrête de prendre les gens pour des couillons.
C'est pas du Victor Hugo, qui voudrait lire des pages d'un personnage qui a tout du Village Potemkine, on n'est plus à l'époque de Catherine II. Il faudrait qu'il pense à atterrir, le moindre gueux a vu sur le monde et il sait lire Internet.

[Rédigé par : Tipaza]

@ Serge HIREL | 11 janvier 2025 à 12:30
"Le titre du bouquin qu’il (BHL) en tirera ? « Moi, l’Immaculé »."

L'idée paraît excellente mais inaboutie.
J'ai l'impression que ce titre, que vous proposez, est une réminiscence de "l'Immaculée Conception", du moins est-ce ainsi que je le lis.

Alors l'éditeur, commerçant et pour cause, imposera un titre plus accrocheur et plus vendeur.
Je verrais bien ce titre : "L'Immaculé consternant".

[Rédigé par : Giuseppe]

Retrospective d'un cuistre qui n'aimait que lui.

[Rédigé par : Aliocha]

@ Serge HIREL

Merci de nous distinguer avec Patrice Charoulet, l'unanimité est toujours suspecte.

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Giuseppe | 11 janvier 2025 à 10:47
« Mongénéral considérait Malraux comme un alter ego »

À chacun un alter ego à sa taille... Peut-on dire que le Président, frère d’insomnie de BHL, le considère comme son alter ego ? Qui se ressemble s’assemble, dit le proverbe...

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@ Achille | 11 janvier 2025 à 10:24

L’estime portée à JLMP aujourd’hui n’a strictement rien à voir avec l’attitude sordide du régime algérien contre la France. Elle est celle que l’on accorde à une personnalité ayant servi son pays, d’abord sous les drapeaux, puis, pendant des décennies, en sonnant le tocsin que personne n’acceptait d’entendre.

En revanche, il est sûr que Macron perdra toute estime auprès d’une large majorité de Français, y compris dans son camp, si, dans les prochaines heures, il continue de se contenter de qualifier de « déshonneur » la haine des « fellouzes » d’Alger. Il est plus que temps d’agir pour les calmer.

Il est aussi urgent que le Président se souvienne que sa mission est de rassembler les Français et donc qu’il condamne fermement et sans aucun détour de langage l’abjecte manifestation de mardi soir, place de la République, que l’on doit qualifier d’incitation à la guerre civile. Qu’il ait respecté le temps du deuil, soit, mais, après la remarquable ferveur lors des obsèques de JMLP, il est grand temps de sévir contre cette anti-France qui crache sur les tombes.

La première des mesures à prendre est de modifier l’aménagement des lieux pour que le monument symbole de la République soit autant protégé que l’Arc de Triomphe. Idem pour la Bastille et la Nation.

[Rédigé par : Claggart]

@ Claude Luçon 11janvier 13 h 12

Sur les dictateurs militaires du Nigeria

Responsable d’un chantier dans le bush dans les années 90, je dois reconnaître que lors de l’inauguration de la fin des travaux par le général Babangida, j’ai été content qu’il me serre la pince et me félicite pour la qualité du boulot

Il avait fait travailler une centaine d’expats et quelques centaines de locaux pendant près de deux ans

Sûr que si BHL s’était pointé en chemise blanche, j’aurais été lui chercher fissa une cravate, par respect pour les
officiels nigérians tous portant uniforme ou agbala de cérémonie, sans compter nous les expatriés en veste et cravate par 40 à l’ombre.

[Rédigé par : Patrice Charoulet]

Petit jeu. Allez sur le moteur de recherche français QWANT. Écrivez votre vrai prénom, puis votre vrai nom.
Un sur deux d’entre vous aura la surprise de voir un « résumé de l’intelligence artificielle de Qwant » à son sujet.
Autre surprise : si vous renouvelez l’expérience, vous verrez des changements. Pour ma pomme, cela varie constamment et… il y a du vrai et du faux.
Le faux sera cru vrai par tous les lecteurs. C’est comme ça et pas autrement.

[Rédigé par : Axelle D]

@ Claude Luçon | 10 janvier 2025 à 17:29

Prétentieux, pédant et mal élevé !
Pour ceux qui n'en seraient pas encore convaincus, il suffit de regarder la façon dont s'est présenté récemment ce m'as-tu-vu à un dîner d'État offert par le roi du Maroc, non seulement sans cravate, mais la chemise largement échancrée béant sur son torse nu. Tandis que sa Colombine arborait un énorme sac en forme d'oeil comme pour conjurer le mauvais sort !
Quels ploucs !

On est quand même très très loin de l'élégance et du savoir-vivre à la française.

[Rédigé par : Claude Luçon]

@ Serge HIREL | 10 janvier 2025 à 19:17

Nous ne l'avions pas invité, il s'était invité uniquement à son initiative et s'est pointé et s'invitant à l'ambassade le vendredi avant de repartir le lundi, comprenant qu'il était tombé dans un groupe de conservateurs qui s'entendaient très bien avec les "dictateurs" militaires nigérians, sans doute parce que nous avions tous été officiers de réserve à la même époque que JM Le Pen 🤣

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ tous (sauf Aliocha et Patrice Charoulet)

Halte au feu ! BHL va finir par nous faire croire qu’il est pris sous les tirs de snipers... comme à Sarajevo... Le titre du bouquin qu’il en tirera ? « Moi, l’Immaculé ».

[Rédigé par : Giuseppe]

C'est le moment de rappeler ce qu'est l'insigne courage, le vrai courage, celui que cite Marc Bloch, pour en parler "il faut avoir fait la guerre".
Marc Bloch que l'on devrait enseigner partout.

Quant à l'autre, notre BHL d'opérette, qui se voudrait le Malraux de son temps, dont il jalouse secrètement les états de service, ses engagements, sa vision, "L'Espoir", "Les Noyers de l'Altenburg"... la guerre vécue, l'héroïsme, que l'on ne retrouve nulle part chez ce marchand de chansons qu'est ce philosophe de bazar pour people en mal de frissons sur papier glacé.

Mongénéral considérait Malraux comme un alter ego, il le protégeait aussi, il savait la valeur de l'homme controversé parfois, mais lui a été au feu en première ligne.

[Rédigé par : Jérôme]

Merci aux blogueurs d'avoir rhabillé Botul-Henri Lévy. Un imposteur comme le montre bien cette photo aimablement mise à disposition. Ce petit monsieur est un emmerde*r qui par sa présence vaniteuse et pour se faire mousser a gêné le travail des hommes de terrain.
Un cuistre, c'est le bon mot.
Et un criminel contre l'humanité, cf la Libye.

[Rédigé par : Achille]

Passer de J-M Le Pen à BHL, la transition était un peu brutale.

Il semblerait que les habitués de ce blog ne partagent pas du tout l’enthousiasme, certes purement intellectuel, mais pourtant sincère, de Philippe Bilger envers BHL.
Par contre le billet sur J-M Le Pen a montré que le "Menhir" avait encore de fervents supporters.
Le conflit actuel avec l'Algérie y est certainement pour quleque chose...

[Rédigé par : hameau dans les nuages]

@ Antoine Marquet | 10 janvier 2025 à 20:59

Oui. il y a aussi celle où marchant dans le désert il est entouré d'hommes armés avec un petit détail que peu de gens ont remarqué. Les armes, en l'occurrence des AK-47, avaient le bouchon pour le tir à blanc au bout du canon.

Du vent pour un marchand de sable.

Vu les commentaires, le voila habillé pour l'hiver. Je l'inviterais bien à faire du bois pour se réchauffer mais j'aurais trop peur qu'il se casse un ongle.

Gloup ! Gloup ! Entartons ! entartons !

[Rédigé par : Patrice Charoulet]

"J'ai toujours mal dormi" (BHL, Le Parisien, 11/01/2025, p.11)
"J'ai toujours bien dormi" (Moi)

[Rédigé par : sylvain]

@ Antoine Marquet | 10 janvier 2025 à 20:59
"Pour sylvain :
https://x.com/34occi34/status/1104334270187950080"

Merci, mille mercis pour cet extrait fabuleux hallucinant qui diffère très légèrement de ce que j'ai vu à quelques "détails" près, je l'encadre et le conserve pour nos soirées diapos ; soirées d'extrême droite bien entendu.

Oups ! J'ai prononcé le mot "détail", c'est interdit en ce moment sous peine d'être accusé de faire l'apologie du lepéno-nazisme honteux haineux... à poil laineux !, ou les noeuds ou bien l'haineux je sais plus.

Pour conclusionner, je pense que ce malheureux BHL a dû se faire amidonner son cerveau en même temps que le col de ses chemises.

[Rédigé par : Xavier NEBOUT]

BHL peut remercier P. Bilger. Grâce à son blog, il est rhabillé gratis avec un chouette de beau costard.

[Rédigé par : Vamonos]

BHL se répand dans les médias pour parler de ses insomnies. Les jocrisses vont acheter son dernier livre ; mais il y en aura d’autres.

Plus il vieillit et plus son sommeil devient léger entre deux cycles. Donc il se réveille.

Plus il vieillit et plus il dort profondément au cœur de son cycle réparateur. Donc il est revigoré et il se rendort difficilement.

Tout est normal d’autant plus que normal commence par la lettre n et finit par la lettre l.

Pour avoir un bon sommeil réparateur c’est pourtant simple :
Boire une tisane Louis XIX à 20 h 30
Éteindre les ordinateurs à 21 h 50
Éteindre la lumière à 22 h 00
Pendant les insomnies, compter les respirations profondes, méditer sur l’air qui monte et qui descend. C’est tellement ennuyeux que le préposé se rendort en sursaut.
Un peu d’exercice physique le matin et c’est parti pour une excellente journée.

P.-S. : vous remarquerez qu’il n’y a pas de « je » dans ce texte parce que la vanité est contre-productive.

[Rédigé par : Jean sans terre]

@ Antoine Marquet

Dixit Desproges à son sujet : « Il faut montrer ça : la vraie nature des cuistres ».

[Rédigé par : Antoine Marquet]

Pour sylvain :

https://x.com/34occi34/status/1104334270187950080

[Rédigé par : Giuseppe]

@ Claude Luçon | 10 janvier 2025 à 17:29
"J'ai découvert un homme immensément vaniteux !"

C'est du Molière. Frédéric Dard (alias San-Antonio) : "La connerie, c'est la décontraction de l'intelligence."

[Rédigé par : Aliocha]

@ Serge HIREL

Pas besoin de laïus pour souligner la médiocrité du ricanement sectaire des planqués.

[Rédigé par : Serge HIREL]

@ Aliocha | 10 janvier 2025 à 11:39
« L'art est difficile... »

Le copier-coller l’est beaucoup moins... Vous n’auriez pas un petit laïus, de Voltaire par exemple, pour dire tout le bien que vous pensez de la liberté d’expression ?

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@ Achille | 10 janvier 2025 à 10:41
« BHL sera bientôt sollicité par Philippe Bilger pour être "soumis à la question" »

Pourquoi pas ? BHL a fait sa fortune (médiatique) sur son savoir-faire (et simuler) sa « présence protestante »... Et, comme « la question » chez Philippe n’est que virtuelle, tout va bien. Il hurlera sa douleur et notre hôte, pour le calmer, lui fournira la pommade...

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@ Claude Luçon | 10 janvier 2025 à 17:29

Voilà ce qui arrive quand des « géomètres » invitent un saltimbanque...

[Rédigé par : caroff]

Le mètre étalon de la vanité et de la suffisance au pavillon de Breteuil ce Béchamel.
Écrit ses livres avec des nègres, ce qui prouve qu'il n'est pas raciste !

[Rédigé par : Xavier NEBOUT]

Les gens malhonnêtes capables de devenir honnêtes, et qui donc commencent par revenir vers leurs victimes pour les dédommager ou seulement "faire amende honorable", n'ont pas laissé beaucoup de traces dans l'histoire.
De Gaulle aura été une timide exception en déclarant un jour à propos du Maréchal Pétain : "Il était trop grand pour une France qui ne le méritait pas". Ses derniers mots furent "Que Dieu me pardonne" ; peut-être pensait-il à lui.

Quant à BHL, il a été un si beau représentant de la pègre intellectuelle, que le voyant mal en ressortir avec une auréole de sainteté pour me vendre de l'eau vive, j'aurai autre chose à lire…

[Rédigé par : Claude Luçon]

J'ai rencontré BHL à Lagos chez notre ambassadeur, un dimanche. Il était venu dans le cadre de ses poursuites de gouvernants dictateurs, les militaires nigérians, qui gouvernaient résolument dans le camp occidental, amis des USA et membre du Commonwealth britannique. Du temps de Thatcher ils avaient offert d'envoyer leurs frégates et des troupes d'assaut pour aider les Britanniques à combattre les Argentins qui avaient occupés les Falkland.

C'était un week-end ou nous célébrions un anniversaire, nous étions une douzaine de dirigeants, tous ingénieurs hélas pour lui, nous lui avons offert une visite du sud pétrolier, emmené à Port Harcourt avec le Jet d'Elf, y visiter l'usine de pneus de Michelin et avec l'hélicoptère de Shell l'emmener sur une de mes tours de forage, le directeur de Total l'accompagnant.

Tout était organisé le lundi quand l'ambassadeur nous a appelés pour nous dire que BHL était reparti, pas intéressé. Le samedi il avait visité le grand marché de Lagos et la prison près de l'aéroport d'Ikeja accompagné et guidé par mon épouse et l'épouse du directeur de Michelin, une ex-journaliste.
Il n'avait pas apprécié notre offre et s'était comporté d'une façon épouvantable lors du déjeuner à la résidence de l'ambassadeur le dimanche. N'ayant rien vu il a tout de même publié un article non moins épouvantable sur le Nigeria sur le Point.

Mon épouse et son amie ont envoyé une lettre de protestation au rédacteur du Point, dont j'ai toujours copie, lequel a répondu avec une courte et banale remarque sur le droit à la parole.
Nous étions tous furieux de l'attitude pour le moins pédante de BHL ! Jusque-là j'avais apprécié son excellent "La Barbarie à visage humain" ! J'ai découvert un homme immensément vaniteux !

[Rédigé par : Serge HIREL]

Après les « chemises brunes » ces jours-ci, revoici LA « chemise blanche »... Elle ne dort pas... Elle pense... et le fait savoir. Bref, il est possible que BHL ait un joli brin de plume, mais sa puissance philosophique ne paraît pas franchement en équivalence avec ce don épistolaire. Quant à ses foucades de conseiller politique et diplomatique, force est de constater que son ego laisse peu de place à la lucidité.

Qu’en lui suggérant l’idée d’une coalition internationale contre le Hamas, il ait fait sombrer Macron dans le ridicule, passe encore, même si c’est aussi la France qui a été ainsi décrédibilisée, mais il a fait pire : l’équipée de Sarkozy en Libye, fruit de ses élucubrations nocturnes, a détruit une nation, mis à mal un possible processus de paix au Moyen-Orient et mis fin à une certaine stabilité politique au Sahel.

C’est sûr, je n’ai même pas le temps d’une courte sieste à consacrer à la lecture du dernier pensum de « Platon 2.000 » (prononcez « platon-deux-point-triple-zéro »). Mais, promis, dès qu’il est panthéonisé de son vivant, je fais un effort...

P.-S. : Le Monde a relevé un détail - ce mot est-il autorisé ? - dans le nouvel opus de BHL. Un détail inquiétant : l’insomniaque écrit que, de son appartement, il peut apercevoir les faits et gestes nocturnes du Président. La DGSI a-t-elle identifié ce danger ? BHL peut à tout instant dégainer et lancer vers l’Élysée une nouvelle idée saugrenue.

[Rédigé par : genau]

Le dévoilement de l'imposture de ses photos en territoire d'hostilités lui a fermé pour toujours les portes de mon envie de lire. Liban, un décor, Afrique, une maladresse sotte décrédibilise définitivement le personnage.
Pourquoi lire la version écrite d'une imposture d'image ?

[Rédigé par : sylvain]

BHL : je suis tombé un jour sur un bêtisier montrant BHL en reportage sur une scène de guerre, se protégeant d'une mitraille derrière un muret en prenant tous les risques et qui forçait notre admiration devant un tel héros.
Quand, patatras ! tout s'est écroulé, la caméra a changé de plan, volontairement ou pas, et nous a montré au-dessus de ce muret deux braves soldats debout qui taillaient la bavette clope au bec ; pas de tirs, pas de fumée, pas d'explosions, le calme plat.

Pauvre BHL, ridiculisé en direct, sa fourberie grotesque a fait de lui depuis ce jour un des pires guignols du journalisme.
Il va sans dire que les foudres de BHL ont dû s'abattre sur le caméraman, depuis, cet extrait de bêtisier n'a plus jamais réapparu, ben voyons !

Au passage saluons l'Algérie qui a humilié la France avec cette histoire d'influenceur ping-pong qui se prélasse sourire aux lèvres dans les avions entre Paris et Alger, un beau fiasco flop prévu, notre pays en détient tous les records du monde, Darmanul est toujours sur la plus haute marche du podium.

Ayons aussi un peu de compassion pour Patrick Benguigui, plus connu sous le nom de Bruel, qui a vu son refuge fiscal de L.A. partir en fumée, la main de Le Pen ???

[Rédigé par : Third stone from the sun]

"Il y a en effet, dans la tonalité générale de ce livre, une introspection sans complaisance" (PB)

Comme si l'introspection de BHL avait quelque intérêt supplémentaire à la bonne marche du monde à celui de n'importe quelle caissière de Monoprix du coin, s'il y en a encore.
C'est quand même hallucinant ce besoin du petit, dans tous les sens du terme, microcosme parisien de se sentir obligé de dire du bien publiquement de tout ce que fait ou dit l'escroc bourgeois BHL comme si ne pas s'exprimer sur le vide allait amener des sortes de rétorsions.

On mesure le pouvoir de ce type sur son milieu quel qu'il soit et donc le niveau général d'"aplaventrisme" et d'hypocrisie de celui-ci et on se demande éberlué quelle peut bien être la nature de ce pouvoir vu que ce n'est certainement pas le génie.
Le gars doit avoir des dossiers compromettants sur tout le monde à la J. Edgar Hoover, je ne vois que ça.

[Rédigé par : Yves]

Les nuits blanches de BHL sont préocccupantes mais il n'est pas interdit de s'intéresser en priorité aux troubles du sommeil causés par la situation économique et financière que l'on nous prépare.

Un exemple : les retraites.

À leur propos, il n'est question ces temps-ci que de la cruauté du passage à 64 ans, de l'urgence du retour à 62 ans. Le gouvernement prépare ces jours-ci un budget dont on nous explique qu'il sera complaisant aux vues de gauche.

Le premier inconvénient serait que le pays ne dispose déjà pas des moyens de financer dans la durée le régime actuel !

Deuxième aspect, quid de l'avenir économique de la France ?
La charge des retraites constitue une composante sensible du "prix de revient de l'heure travaillée" d'un pays déterminé. Donnée examinée avec le plus grand soin par les industriels au moment de choisir le pays où ils vont investir les moyens de production destinés à desservir le marché de l'UE.

Les âges de départ à la retraite sont les suivants :
Espagne 67 ans
Italie 67
Allemagne 67
Belgique 65 en progression vers 67
Pays-Bas 67
Irlande 66
Danemark 67 en progression vers 69

And the winner is :
France 64 en progression vers 62 ???

La France souffre de la raréfaction de moyens de production, de nombreuses suppressions d'emplois. Le groupe Saupiquet, vieux d'un siècle, vient de fermer sa dernière usine française. À votre avis, travaillons-nous pour notre réindustrialisation ?

[Rédigé par : Aliocha]

La citation du grand auteur qu'est notre hôte est ici nécessaire, quand les médiocres se déchaînent sans frein et presque sans arguments :

"Parce que nous sommes trop peu à le soutenir, quel que soit notre registre, et qu'il m'est insupportable de voir tant de citoyens s'abandonner à une dérision facile et à des accusations jamais questionnées alors qu'ils ne le valent pas. Se moquer de ce qu'on n'est pas capable d'être est la pire des médiocrités."

https://www.philippebilger.com/blog/2024/12/pourquoi-je-d%C3%A9fends-fran%C3%A7ois-bayrou.html

L'art est difficile et devrait inspirer un peu d'humilité.

[Rédigé par : Achille]

« On a envie d'aller plus loin que ces pages et de rencontrer cette personnalité, cet auteur qui ont donné d'eux une belle image. De poursuivre le dialogue qu'il a entretenu avec lui-même. » (PB)

Tout laisse à penser que BHL sera bientôt sollicité par Philippe Bilger pour être "soumis à la question", si toutefois il l’accepte. Pourquoi pas ? Il a déjà connu des situations bien plus dangereuses au cours de sa vie mouvementée. :)

[Rédigé par : Patrice Charoulet]

BHL, le président Macron, Jacques Attali, Alain Minc... sont détestés par presque tout le monde en France. Je ne suis pas du nombre.

[Rédigé par : Giuseppe]

@ Metsys | 10 janvier 2025 à 08:26

Pour avoir lu Louis Ferdinand Destouches il aurait détesté cet imposteur qu'est BHL qui est toujours dans l'esbroufe. Il a su se faire reconnaître par un petit nombre dans un milieu acquis qui adore ces personnages superficiels mais emplis d'ego à l'image de ce qu'ils doivent être.

Pour le reste il suffit de compter toutes ses parutions livresques pour situer son aura au niveau de la pensée.
Allez, quelques faits ! Plus il avance moins il est acheté : "Ce virus qui rend fou" s’est écoulé à environ 14 000 exemplaires. C'est relativement modeste pour un auteur avec son niveau de popularité et de médiatisation supposée planétaire et sans aucun doute surfaite.
Cependant, certains de ses ouvrages plus anciens ont connu de meilleures ventes. Entre 2004 et 2024, seuls quatre de ses 17 ouvrages ont dépassé les 20 000 exemplaires.

Que l'on aime ou pas Michel Onfray, en comparaison l'autre est donc minuscule, le tirage est un bon baromètre de la notoriété. Il est bien né BHL, financièrement il a pu se doter d'outils qui lui ont permis de s'élancer avec plus de facilité, des talents de son niveau il en est plein dans les couloirs de la littérature publiée ou non publiée. Il restera, avant d'être oublié, un Don Quichotte de la sphère politique et littéraire.

MO s'était à l'époque moqué de lui en disant, lors du conflit en Libye, que si on lui avait demandé de pointer du doigt sur une mappemonde ce pays avant qu'il apparaisse dans l'actualité, il en aurait été bien incapable.

Sacré BHL ! Sa plus belle signature c'est sa chemise blanche et ses souliers vernis, pour le reste, ses bouquins, ça manque un peu de puissance, sa culture c'est juste l'engrais qui favorise la pousse, les plantations sont bien chétives chez lui.
On l'aime bien lui et son épouse maniérée, la presse people les adorent, là il faut reconnaître qu'ils y brillent.

[Rédigé par : Tipaza]

Ah les Nuits blanches de BHL, elles traînent sur toutes les radios, même sur France Culture.

Je ne dors pas donc j'existe - vigiliae ergo sum - la nouvelle formule d'un nouveau philosophe, nouveau depuis des décennies.
Étalage d'un ego qui se refuse à dormir de peur d'être oublié, et qui raconte ce qui est au fond son but ultime : regardez-moi, même la nuit j'existe.
Freud aurait beaucoup à dire sur cet ego qui se refuse au sommeil réparateur de peur d'être oublié.

Des nuits médicamenteuses...
Et si avec Lacan on se disait que ces médicamenteuses ne sont pas autre chose que les menteuses qui reviennent la nuit pour essayer de dire à ce Bavard, Hallucinant de vacuité, Lassant de vanité, la vérité qu'il refuse d'entendre et de voir.
C'est dans la nuit noire que l'on se voit le mieux.

Enfin, nuits blanches pour nuits blanches je préfère les nuits blanches de Barbara :

"Je veux encore rouler des hanches
Je veux me saouler de printemps
Je veux m'en payer, des nuits blanches
À coeur qui bat, à coeur battant
Avant que sonne l'heure blême
Et jusqu'à mon souffle dernier
Je veux encore dire je t'aime
Et vouloir mourir d'aimer"
Barbara : La Solitude

À propos de solitude, ce bavard impénitent n'est jamais seul, étant avec lui-même.
Comme dit en conclusion le billet :
"De poursuivre le dialogue qu'il a entretenu avec lui-même."

Question : est-il capable de penser contre lui-même ?
Il m'arrive de poser des questions saugrenues, BHL ne saurait avoir de contradicteur qu'il ne vaincrait pas. -)

[Rédigé par : Metsys]

Monsieur Bilger, votre billet comporte 52 lignes, et on y trouve cinq fois la première personne du singulier. Or, sur le même volume, au début du Lys et la Cendre, BHL utilise 23 fois le "je".
Il ne saurait donc vous être comparé, ni même être admis comme étudiant à l'Institut de la Parole, faute des prérequis indispensables
Dans la même veine, Céline mettait 7/20 à Sartre dans l'Agité du bocal. "Ce n'est ni bon ni mauvais, ce n'est rien du tout, pastiche...".
Quelle note et quelle appréciation mérite donc BHL ?

[Rédigé par : Achille]

Je n’ai lu qu’un libre de BHL, paru en 2007 et intitulé "Ce grand cadavre à la renverse". Expression empruntée à J-P Sartre dans les années 60. Titre plutôt prophétique puisqu’il annonçait déjà la déliquescence de la gauche que l’on connaît aujourd’hui, avec notamment LFI et son gourou J-L Mélenchon qui nous joue les Robespierre de salon avec sa horde de "sans-culottes" dont la plupart sont totalement incultes.
Une gauche dégénérée, sectaire et irresponsable qui a fait le lit du RN qui désormais est aux portes du pouvoir.

Certes BHL a une bonne plume, mais je n’ai jamais apprécié le personnage va-t-en-guerre, grand défenseur des nobles causes mais dont on se demande parfois si ses expéditions sur les lieux de conflit ne sont pas surtout dictées par un ego démesuré plus que par héroïsme.
Philippe Bilger nous donne un aperçu de son dernier livre qui semble intéressant. Peut-être me laisserai-je tenter un jour, mais je préfère attendre encore un peu.

[Rédigé par : Merville]

« Style étincelant », « indépassable talent pour l’écriture ». De qui parlez vous ? Sûrement pas de BHL.

[Rédigé par : Giuseppe]

Avec BHL, comme il est souvent dans l'imposture on peut se demander s'il écrit lui-même ses livres.

Dans son livre "De la guerre en philosophie" publié en 2010, BHL cite longuement les travaux d'un certain Jean-Baptiste Botul, qu'il considère comme un philosophe très pertinent. Or, Jean-Baptiste Botul n'existe pas : c'est un personnage fictif inventé par le journaliste Frédéric Pagès du Canard enchaîné.
C'était un canular bien monté dans lequel BHL est tombé alors qu'il critiquait les travaux de Kant.

Il fait partie de ce petit monde d'intellectuels qui sont surcotés par des médias complaisants, mais les plus incisifs ne s' y trompent pas. À l'image de Jacquattali grand économiste penseur devant l'éternel qui distille ses recettes de cuisine comme les influenceurs sur Internet. Cependant, il a dû démissionner en 1993 à la suite de controverses liées à la gestion et aux dépenses de la banque BERD.

Tous ces types, dès qu'ils sont confrontés aux vrais défis par leurs propres moyens se dégonflent comme des baudruches, où plutôt leur melon est ramené à celui des petits pois ce qui les met au niveau de ce qu'ils sont.

Ah, Alain Minc aussi, un personnage du monde des affaires françaises. Minc avait crée AM Conseil, une boutique de conseils stratégiques, aujourd'hui cette entreprise semble bien en crise. Il a aussi été impliqué dans des dossiers judiciaires avec des pratiques contestées et des échecs retentissants. Toujours un sujet controversé celui-là ! Grand conseilleur en économie pour les autres, qui veulent sans doute se rassurer devant un nul en étain, qui se voudrait et se vendrait s'il pouvait au prix de l'or. Lui aussi une imposture.

https://www.capital.fr/entreprises-marches/la-pme-minc-ne-fait-plus-recette-555062

Pour en rire un peu plus :

https://presite.mediapart.fr/node/233/pdf.pdf

Et pour terminer sur BHL gladiateur de bazar et sans doute un peu de pacotille.