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28 février 2025

Commentaires

Jean sans terre

Il peut être nécessaire de tuer ou de mettre sous les fers un individu nuisible à la société. Toutefois, peut-on décemment reprocher à un homme d’avoir voulu échapper au destin de misère, pareil à celui de ses parents, auquel le condamnait cette société, ses règles, ses exclusions ?

En une autre circonstance, dans l’affaire Nahel Merzouk, il paraît assez évident et flagrant, que le policier à l’origine de la mort de Merzouk n’est pas soutenu par l’exécutif français. Que les défenseurs de la probité des magistrats ne pinaillent pas. La CEDH dans un arrêt célèbre n’a reconnu aucune autorité judiciaire aux magistrats du parquet pour la raison qu’ils n’étaient pas indépendants.

Merci infiniment M. le ministre de la Justice et adieu cher ancien ministre de l’Intérieur. Mais enfin, ne faisons pas semblant de nous étonner. Il n’y a que M. Bilger qui fasse encore aujourd’hui mine de s’étonner, voire de s’émerveiller. Que pouvait-on attendre d’un type qui depuis huit ans collabore avec les extrémistes du centre après avoir tout renié ?

Ugo

Et si nos grands n’étaient que des petits ?

« OTAN en emporte le vent »

Les Américains la quitteront peut-être !

Les Européens veulent créer une force militaire de défense qui leur soit propre !

Que va-t-on faire de l’OTAN ? Un musée ?
De Gaulle n’en voulait pas et Sarko nous y a fait adhérer sans nous demander notre avis !

Et la Bombe qu’est-ce qu’on va en faire de la Bombe ? Une partie de saute-mouton ? Une vente aux enchères ?

Serge HIREL

@ Patrice Charoulet | 02 mars 2025 à 08:10
« Je ne sais pas quoi faire de mon argent. »

Envoyez-le à Luc Ferry. Entre collègues, ça se fait... ou échangez vos domiciles... À Paris, vous seriez plus proche de votre idole...

Lodi

@ Patrice Charoulet | 02 mars 2025 à 08:10

Si vous ne savez pas quoi faire de votre argent, vous pouvez investir dans des journaux pour être mieux informé et nourrir le débat, ici et ailleurs.

Vous pouvez offrir de beaux livres à vos proches, aider à financer la Bibliothèque municipale, institution qui mérite tous les éloges.

Et peut-être aussi l'argent de ceux qui disent ne savoir qu'en faire... Si vous préférez orienter les lectures des gens, vous pouvez offrir les livres dont vous voudriez offrir la possibilité de les rencontrer dans une institution qui ne saurait tout acheter.
Il pourrait même y avoir un fonds Patrice Charoulet, à moins que vous ne préfériez rester anonyme.

Vous pouvez semer les livres dans les boîtes à livres.
Comme on parlait de prisonnier "traître", en donner à la bibliothèque de la prison, ou vous orienter vers les hôpitaux et tant d'autres endroits où les gens manquent moins de temps que de livres pour lire.

Étant sans grand besoin, vous avez une grande possibilité d'agir pour défendre ce qui vous tient à cœur.
Pourquoi ne pas en profiter ?

Lodi

Curieux, le rapport des gens, avec la trahison.
À notre époque. Soit la trahison n'est rien, voir tous ceux qui tendent à la relativiser et l'unanimité à faire du trahi la variable d'ajustement : à lui de pardonner, et non au traître de réparer. On ne le dit guère d'autres victimes... Ainsi, la victime la moins victime est celle qui pourtant est la plus proche du transgresseur, mépris du prochain pour la valorisation du lointain.

Certains, en réaction ?
Je l'ignore, certains, comme notre hôte, sont contre la trahison, déjà parce qu'ils sont loyaux.
Mais là, on trouve l'excès inverse : quelqu'un vous trahit quand il ne vous a rien promis !

Incroyable.
Manière de dire que la déception est intolérable, sans doute, ce que je peux comprendre.
Mais si j'ai bien lu le billet, le bandit n'a rien promis, d'une part, et sauf si je n'ai pas suivi, il n'a rien reçu de monsieur Bilger faisant que ce dernier puisse penser qu'il doit rendre bienfait pour bienfait.

C'est vrai qu'il peut arriver de se sentir trahi parce qu'on espérait de grandes choses d'un grand, ainsi Musk, prince de la conquête spatiale qui avait commencé à faire parler de lui en politique en aidant l'Ukraine. Noblesse oblige ? Vis-à-vis de soi, c'est certain, mais qui n'a rien promis ni reçu en bienfait ou en poste honorifique peut-il être qualifié de traître envers les autres ?
J'en doute.

J'ai bien peur qu'à force d'excuser les traîtres avérés d'une part et de tenter de faire rentrer ceux qu'on désire suivre un chemin aux autres en les qualifiant de traîtres s'ils s'en écartent alors qu'ils ne sont pas des siens comme s'ils en étaient...
J'ai peur, bien peur, qu'on ne finisse par faire disparaître peu à peu l'idée qu'il existe des traîtres.
Sans parler, corollaire, de ne jamais trahir, pour sa part, et de toujours châtier les traîtres.

Prétendre et qu'on n'a pas d'obligation quand on en a et qu'on en a quand ce n'est pas le cas me semble le meilleur chemin pour faire rejeter toute idée d'obligation.

Drôle d'époque, où on peut traiter Zelenzky de tyran quand il est le représentant de son peuple résistant. Drôle d'époque quand on ne le trouve pas assez respectueux d'un Trump en rien respectable et qu'on oublie que Mongénéral si idolâtré des Français...

Sans doute pour faire oublier leur faible résistance ! Ce qui n'est sans doute pas non plus étranger au déferlement de critiques de certains envers les Ukrainiens : la Résistance était une exception en France, tout comme le village d'Astérix bien seul à rester libre face aux Romains.
Au demeurant et c'est heureux pas diabolisés.

Quant à l'union des Français entre eux ? Utopique, il n'y a guère qu'à la fin de l'album que l'on peut voir toute la communauté festoyer, hormis le barde qui chante mal : il y a là une façon pour les créateurs d'Astérix de se moquer de la réception de l'art ou du talent ou des deux ce qui ne manque pas de sel.

Bref, on critique Zelensky dit pas assez souple quand notre de Gaulle l'était bien moins, gâté-pourri en comparaison car les Alliés et lui se disputaient sur la conduite de la guerre tandis que le Président ukrainien fait des pieds et des mains pour que son pays obtienne une vraie garantie. Mais le malheureux voit bien les Américains de dérober à leur ancien rôle de puissance tutélaire de l'Europe.
Désespérant...

Et bientôt de Taïwan ?

Admirable Zelensky, admirable peuple ukrainien !
J'ai peur pour eux... On dit qu'il faut bien qu'ils perdent des territoires. Qu'on traduise : cela signifie que des gens capables de se battre pour la liberté, voulant s'arrimer à l'Europe, vont être condamnés à se retrouver sous domination étrangère, plus précisément, de la Russie, pays où les gens ne sont pas libres, l'ont rarement été, et ne le seront peut-être jamais.
"Vous qui entrez ici, quittez toute espérance", peut-on dire comme à la porte de l'Enfer de Dante.

Enfin, si on aime la liberté !
Si on préfère ne pas être libre soi-même pour contraindre les gens à quelque culte du chef, et tant qu'on y est, religieux.
Ce n'est pas moi qui ai discrédité la religion, ce sont ces croyants, qui le font très bien tout seuls, elle qui justifie l'oppression, de même que le culte du chef de se soumettre au plus puissant d'un ordre social injuste, fils de la force, de la violence et du mensonge.

L'Amérique des colons s'était en partie construite sur la religion, mais une religion compatible avec la liberté.
À présent, il semble bien que cette exception dans les rapports entre religion, surtout monothéiste, et liberté se referme.
Et ? Cela contribue à expliquer que l'Amérique se rapproche de la Russie : qui se ressemble s'assemble.

Les monothéistes répètent "que la lumière soit", mais moi je dis que leur comportement est bien plus souvent, et de plus en plus après une parenthèse américaine "que les ténèbres soient".

Et que cela tient à l'unique : la fascination pour une toute-puissance de Dieu, bien loin de l'équilibre des pouvoirs entre divers dieux comme il en est entre les pouvoirs en démocratie, conduit en toute logique à ce résultat.
L'unique qui fascine en religion y rend en principe fort intolérant et prédispose à se soumettre ou bien soumettre César.
Le monothéiste est fort rétif aux limites, il dévore comme le feu qu'il lui plaisait tant de regarder engloutir ceux ne rentrant pas dans son moule d'oppression.

On peut lui dire de rendre à César ce qui est à César, c'est peine perdue, quant à aimer son prochain !
Alors là, c'est encore mieux, si le païen et le monothéiste l'ignore en principe, il se réveille quand il s'agit de rendre sa vie infernale. Je ne vais pas parler des persécutés par les monothéistes, la liste n'en finirait pas, je vais plutôt m'amuser en imaginant une possible guerre des ventres.

En pays arriéré qui ne fait rien pour avancer, est née l'idée de submerger l'Occident de l’intérieur par une fécondité de femmes musulmanes supérieures. Les mauvais coups viennent toujours de l'Islam, où on instrumentalise plus que partout ailleurs les femmes.
Mais y répondent chez nous quelques personnes disant que pour y faire pièce, les femmes non musulmanes doivent aussi avoir plus d'enfants. En principe, on a une immigration pour servir à quelque chose ou du moins ne pas nuire, la musulmane pose des problèmes de violence, de laïcité et autres, et que fait-on, l'interdire ? Non, mais il est question d'instrumentaliser les femmes non musulmanes, de rabaisser les libres au niveau des captives en religion. Le réflexe de tant de gens ?
Sacrifier la liberté. Et surtout des femmes, semble-t-il armée de réserve d’esclaves de leur ventre. Donc, si on suit cette logique, bientôt une guerre des ventres.
Merveilleux, absolument merveilleux.

Enfin, pourquoi ne pas rabaisser les femmes quand tant y donnent la main et qu'on trouve des gens capables d'admirer Russie et Chine ?
Pour leur dureté envers les transgresseurs ? Mais par le Ciel, ce sont des dirigeants usurpant le pouvoir du peuple les premiers criminels ! Et à cause de ce crime fondamental, et parce qu'ils guettent quel peuple conquérir, donnant semble-t-il un déplorable exemple au Président américain, ravivant un certain ressentiment de son pays pour un État plus proche du Royaume-Uni que de l'Oncle Sam, et ça ne va pas s'arranger avec lui.

Sacrifier de petits nuisibles quand on est le pire vecteurs de mal qui soit est tout simplement risible.
Et de plus, on ne fait qu'aller d'excès en excès, parfois trop dur avec les bandits, on est parfois au contraire complice avec eux, par exemple pour contrôler les opposants, les détenus politiques, et il peut arriver que pouvoir et mafias se lient ensemble en une inextricable alliance.

Il faut tomber bien bas pour jeter les yeux sur des dictatures et un grand pays imitant leur fonctionnement.
Et moi je dis qu'il y aurait moins de ressentiment si on croyait, à la base, moins à la politique, qui n'est que le moindre mal. Folie d'en attendre la perfection, et par ressentiment envers la médiocrité, de se plonger dans le pire.

Que le monde soit imparfait, quoi de plus vrai ?
Mais si sous prétexte qu'il est déprimant, on n'est pas tenu de le piétiner comme l'enfant casse son jouet, vu qu'on n'est pas plus des enfants que le monde n'est notre jouet.

Je remarque aussi que la croyance erronée que du mal sort un bien encourage toutes les irresponsabilités, agissons, et nous verrons bien, tel est le mantra des gens, n'égalant pas même la prudence d'un fauve calculant son saut sur la proie.
Que les paradoxes du sacré peuvent rabaisser les gens ! Mais c'est épouvantable, vraiment... Et ça se croit à l'image d'un dieu parfait, enfin, je suppose comme une flaque de boue reflétant le soleil, avec la poésie en moins, vraiment, quel désastre.

Dans la fable des talents, on critique celui qui n'a rien fait, mais que devrait-on dire des irresponsables menant le monde à la ruine ?
Le fait que rien ne soit dit, enfin rien de raisonnable, laissons les délires apocalyptiques, montre combien on a perdu tout sens des responsabilités chez nous, préférant attendre la Providence, la fin du monde, bref, n'importe quoi comme de sales gosses cassant d'autant plus tout qu'ils espèrent voir provoquent le prompt retour de leurs parents.
Et quand ces gens auront des enfants, ils leur diront d'être responsables... Crédible.

Bref, que les monothéistes continuent leurs délires, et ils me donnent raison... Cependant, je préférerais avoir tort, parce qu'en somme, contrairement à eux, je n'attends pas que les autres soient en enfer pour montrer que j'avais touché le gros lot métaphysique.
Comme l'autre, j'ai des goûts très simples, je ne désire que le meilleur, et ainsi, la liberté et le salut du monde.

sylvain

Dans l'échelle des horreurs sanguinaires criminelles, Ferrara passe pour un petit garnement de cour de récré en comparaison de tous ces serial killers chefs d'État européens qui trucident leurs citoyens en toute légalité impunité : Macron le plus zélé de tous ses complices détient le record de crimes arabo-africains afghans islamistes en toute complicité et impunité d'une armada de juges islamogauchistes chargés de distribuer les bourreaux multirécidivistes OQTF sur tout le territoire, une barbarie légale commanditée par l’UE de von der Leyen.

Leur mission : le grand remplacement, l’épuration ethnique, un record de cadavres sanglants dans nos rues ; les médias couchés soumis collabos pratiquent l'omerta et ont enfin trouvé la parade contre tous ceux qui oseraient s'en offusquer : le fautif, le vrai danger, c'est le RN, c'est l’extrême droite, c‘est Zemmour, BEN VOYONS !

Macron a beaucoup de chance, ce peuple veau crétinisé à l’extrême lui obéit au doigt et à l’oeil, il mérite ses coups de couteau, qu’il assume ses choix débiles.

Dans cette même échelle des horreurs, au retour de Washington, au 10 Downing Street s'est tenue une réunion de deux serial killers :

Le premier sinistre ministre anglais qui a couvert les pires crimes sanglants qui se sont déroulés sur son territoire et qui continuent encore, deux des bandes organisées pakistanaises qui ont violé torturé pendant des années des milliers de jeunes, leur justice a reçu l'ordre de fermer les yeux pour ne pas perturber la paix sociale et le pire de l'odieux celui d‘embastiller ceux qui ont osé se révolter contre ces crimes diaboliques.

Et l'autre va-t-en guerre corrompu ukrainien qui envoie des milliers de jeunes et même des vieux, au front se faire massacrer par les Russes qui n‘ont fait que répliquer aux horreurs criminelles ukrainiennes dans le Donbass contre les pro-Russes.

Je préfère croiser Ferrara dans la rue qui m’ignorera même dans une ruelle déserte à 23 h, que toutes ces racailles islamos fachos gauchistes macroniennes qui vous trucident en toute impunité en plein jour devant les passants inertes interdits de réagir sous peine de subir les foudres de la justice macronienne : « on n'est pas au Far West » !

À chacun son échelle des horreurs, la mienne est faite.

Patrice Charoulet

Cher Philippe Bilger,

Antonio Ferrara vous avait dit qu'il ne pouvait pas "vivre avec le SMIC". D'où ses activités répréhensibles.
Moi, j'ai entendu un jour Luc Ferry déclarer que sa pension de retraite était de 3000 euros par mois - c'est la mienne - et qu'il ne pouvait pas vivre avec cela. D'où ses activités (par exemple son débat d'une heure avec Cohn-Bendit sur LCI le dimanche soir).
Je conteste ce qu'a dit Luc Ferry : on peut très bien vivre avec 3000 euros par mois quand ce n'est pas à Paris et qu'on est propriétaire. Je n'arrive pas à les dépenser. Je ne sais pas quoi faire de mon argent.

Xavier NEBOUT

@ Ugo

Les USA ont toujours voulu éviter que l'Europe forme une unité économique, et notamment en comprenant la Russie.
Et maintenant, la pègre mafieuse et corrompue qui la gouverne prend elle-même la voie du suicide de crainte que Poutine comme Trump ne s'avise de la dénoncer.

Les Français le soupçonnent mais osent à peine le penser. C'est bel et bien une pègre mafieuse et corrompue qui nous gouverne.
Les parrains sont la masse des hauts fonctionnaires et assimilés via ONG et associations diverses et avariées. Ils sont liés par des fraternités occultes, surpayés avec en outre logements de fonction, etc.
Ils interdisent ce qui est susceptible de les dénoncer et les emprisonner au prétexte d'être d'extrême droite.
Leurs valets et exécutants sont la masse des fonctionnaires "ordinaires" payés sans trop en faire, à pourrir la vie des Français en pondant et appliquant des fatras de lois et réglementations qui les ruinent financièrement et intellectuellement.
Et l'immigration sert à leur faire regarder ailleurs.

Vamonos

Ferrara n’a pas d’amis. Il avait une amie, elle s’appelle la Liberté. Elle l’a trahi et il a passé 19 années derrière les barreaux.

Plus sérieusement, et de manière plus pragmatique, en Chine, les gens nuisibles sont exécutés en série. Pour régler le problème et éviter toute récidive, c’est une balle dans la nuque et la facture est envoyée à la famille du criminel.

Conclusion : le néant pour l’anarchiste qui ne veut pas vivre en société humaine.

Alexandre

Il est condamnable, certes. Mais ayant fait 19 ans de prison il ne doit rien à personne. Il n'a jamais tué personne. J'attends de vous entendre contre Jean-Marc Morandini qui corrompt des mineurs - la justice l'a dit - et qui officie toujours sur une chaîne qui vous accueille régulièrement, dans l'émission d'un homme qui a insinué que les puces de lit venaient des migrants et qui touche un million par an.

Exilé

« Il ne m'avait rien promis, jamais, mais pourtant c'est comme s'il m'avait trahi. » (PB)

Déjà que nous avons du mal à croire les carabistouilles des politichiens rabâchées ad nauseam par les hôtes du Marigot, s'il faut en plus croire celles du mitant, où allons-nous ?
 

Exilé

« Il avait été incarcéré durant dix-neuf années. Seulement, pouvait-on penser ! » (PB)

Il est très difficile pour ceux qui ne sont pas des habitués des prétoires de porter un jugement comparatif autorisé sur une peine prononcée eu égard aux circonstances et tenant compte du parcours de l'accusé.

Cependant, dans plusieurs cas, les peines semblant parfois dérisoires prononcées pour sanctionner des crimes épouvantables comme ceux illustrant les exploits de ces étrangers sous OQTF vus avec les yeux de Chimène par ce qui tient lieu de justice dans notre pays de même que par ses ministres et ses parlementaires gauchis, nous obligent à nous poser de sérieuses questions sur ce qui peut parfois passer pour un encouragement au crime, trop souvent d'ailleurs connoté de racisme anti-français.

En résumé le deux poids, deux mesures semble être la règle.

Ugo

. Biden et les démocrates ont fait la guerre à la Russie par l’intermédiaire de l’Ukraine.
. Trump et les Républicains veulent faire la paix.

. Les terres rares de l’Ukraine proposées par Zelensky ont servi d’appât pour que les USA et les Européens continuent de les soutenir militairement et financièrement.

. Après de nombreuses réunions et votes à l’ONU la situation s’est aggravée ; Trump renvoie dans les cordes Zelensky qui ne veut plus vendre ses terres rares sans la protection officielle des USA.

. Macron, Starmer, von der Leyen et les autres veulent poursuivre la guerre si les Russes ne partent pas, saisissant cette occasion pour unir leurs pays dans une force militaire commune, force qui ne pourra pas vaincre la Russie sans l’appui des USA.

Conclusion : plusieurs hystériques tentent de duper les autres pour satisfaire leurs désirs déraisonnables… Les USA décideront-ils de laisser tomber l’Ukraine* ? Macron va-t-il taxer l’acier américain et va-t-il offrir notre bombe en se réservant le plaisir de devenir le Président de l’Europe et ainsi d’avoir l’honneur d’appuyer sur le bouton ?

*ou continueront-ils à faire la guerre à la Russie (officialisant ainsi la troisième guerre mondiale ce que Trump a fait remarquer à Zelensky) ?

Xavier NEBOUT

Que faire de celui pour qui braquer une banque relève autant de l'exploit que du crime ?
La prison monastique - la prison idéale où la seule relation avec le monde est l'écoute des offices et la parole du chapelain -, aurait pu lui faire prendre conscience que la principale faute qu'ils ne pourrait se pardonner, la faute contre l'Esprit, était à l'égard de sa famille, aïeux, épouse et enfants.

Devait-il dans sa cellule, espérer qu'ils puissent être un jour fiers de lui, ou mourir pour les délivrer ? Comment sauver son âme ? Il y a mille ans, on lui aurait appris à se poser ces questions avant même d'entrer en délinquance.
Malheureusement, les juges n'ont plus de la religion que la robe, et son sort est à l'image de cette imposture.

Donald Trump, aussi rustre soit-il, a ostensiblement rappelé qu'il n'y a pas de morale sans religion, et donc point de salut sans la spiritualité, mais il est hélas peu probable que cela soit seulement à la portée de la pègre qui nous gouverne.
Alors dans notre civilisation dégénérée, comment le fils et petits-fils d'un Antonio Ferrara peuvent-ils s'en sortir autrement qu'en suivant le même chemin que lui ? C'est ce qui semble se produire concernant son fils Lucas.
Qui sont les coupables, sinon ceux qui ont séparé l'Église de l'État, la justice de la religion, et cela depuis bien avant 1905 ?

Serge HIREL

Aux États-Unis, ce malfrat purgerait une peine à vie... En France, si la justice ne s’était pas montrée laxiste, il aurait été à l’ombre jusqu’en 2028. Il a du sang sur les mains et, cette fois encore, il a tiré. Il a jugé que sa liberté valait plus que la vie de ceux qui l’arrêtaient. Aucune pitié. Laissons-le dans les mains de la justice belge, en espérant qu’elle sait mieux que la nôtre protéger la société de tels individus, heureusement encore rares. Ferrara n’est pas un voleur, n’est pas un braqueur. C’est un tueur, dont, jusqu’à maintenant, les victimes ont échappé à la mort par miracle. Ne prenons pas le risque qu’il ne se reproduise pas...

P.-S. : la fiche Wikipédia sur Ferrara est scandaleuse. Elle a été rédigée par un admirateur...

genau

Il y a quelque chose de pathétique dans ce billet que toute personne susceptible d'influer sur le destin d'autres personnes devrait ressentir.
Au demeurant, la plupart des "mauvais garçons", les femmes apprécieront leur exclusion ici, quoique... donc, évoluent dans un monde très similaire à celui des "gentils" disons, sauf que les échelles ne sont pas graduées de la même façon. Un militaire combattant de l'extrême, pour son pays, peut être gangrené par l'habitude de tuer et devenir un danger dans la vie civile. En général, un individu non éduqué, laissé aux quatre vents, aura plus tendance à aller vers la facilité et de là, à la délinquance. Par compensation, mais ce sont là des considérations d'assistante sociale.

La grande criminalité, d'habitude ou occasionnelle, déjà examinée sous toutes ses coutures par les experts, construit autour de l'individu un mur d'indifférence avec, par hasard, un petit coin préservé, une mère, un parent, un lieu. On ne peut pas espérer une réinsertion à partir de là, mais seulement le regret de ne pas y parvenir. Qu'on se souvienne de M. Bill.

Alors, l'exploitation de ce coin de ciel bleu joue à plein et s'entonne le péan de la société sans pitié, par l'hyperinflation de ce microcosme protégé, les chansons populaires "le Galérien", le romantisme du bandit d'honneur, fadaises nécessaires, mais fadaises.

Notre société a choisi une autre voie : la pénalisation. Depuis très longtemps, les universités alertent, sans résultat, bien sûr, sur la clause pénale de nombre d'articles du Code civil. Si vous parcourez les tableaux des courants d'information, ils regorgent de mentions de "lourde amende" " amende salée", "énormes sanctions", "risque considérable", dans un galimatias journaleux qui place tout acte sous la férule d'une pénalité omnimenaçante.
J'ai même connu un garde champêtre qui a verbalisé après réparation de la simple bévue par le contrevenant qui disait simplement son regret, le pandore interprétant cette contestation mineure comme un affront. Abus de pouvoir et insuffisance de ce "gardien de l'ordre", mais révélateur de l'air du temps.

Ferrara ? Oui, c'est fichu, mais il s'évadera, recommencera et, crispé, un jour, finira dans un affrontement armé.
Il faut se résigner à fermer des pans de sensibilité. C'est ce que font les gouvernants, dans un effroyable mélange de nécessité et de renoncement. Mon beau-père a été envoyé à la guerre aveugle, bataillon des infirmes, professeur de philosophie, la main sur l'épaule du camarade qui le précédait, pour marcher dans le rang. Alors, Ferrara........ bonne chance.

Achille

@ sylvain | 01 mars 2025 à 09:36

Cette situation dramatique, c’est la faute à Emmanuel Macron. Ben voyons !
Il semble vous avoir échappé qu’on la retrouve dans les autres pays européens et même aux États-Unis.
Il faut sortir de votre vision franchouillarde.

xavier b. masset

Antonio croyait peut-être, avec toute sa malignité psychologique native, toute son habileté manuelle acquise, de braquo légendaire, que l'euro allemand avait plus de valeur fiduciaire que sa contrepartie, l'euro français.
Que sa frimousse était moins repérable là-bas que dans l'Hexagone, même postichement dissimulée, à la manière ridicule d'un rigolard Amra roux en Roumanie.

Dans vingt ans, le prochain coup de M. Ferrara, enfin au parfum des dernières évolutions de la monétique, se fera en Corée du Nord, où les autorités le surprendront prêt à bondir sur les coffres des banques pyongyangaises gorgées de bitcoins -- une réserve de valeur qui, elle, ne ment pas -- piqués à ses mêmes naïfs allemands.

Même l'argent ne travaille plus.

Voleurs de numéraires de papier, voleurs de ferraille et autres espèces sonnantes, voleurs français à l'étranger, votre destin de voleur vous défiscalise et vous dématérialise, sans que vous ne vous en aperceviez.
Vous-mêmes n'avez plus de physique.
Vous n'êtes plus que l'ombre d'un sou neuf à la Santé (du contribuable invisible).

Ugo

"Je crains que pour le pire il ait été incapable de mener une vie avec des moyens limités alors que ses activités criminelles lui avaient permis un mode d'existence somptuaire. Il faisait malheureusement partie de ces êtres chez qui la morale pèse peu face à l'adrénaline des transgressions et au profit qu'elles rapportaient." (PB)

Ne vous êtes-vous pas posé la même question pour les Immigrés clandestins qui fourmillent en Europe ? Immigrés qui sont venus là s'imaginant que nous étions un eldorado... d'autres qui vivaient dans leur pays dans des conditions proches de celles de l'homme préhistorique ne sont pas pour autant satisfaits du gîte et du couvert que nous leur offrons, il leur faut des femmes en plus et le reste... ce qui les pousse à redevenir sur notre sol les hommes préhistoriques qu'ils étaient auparavant.

Sommes-nous condamnés d'avance d'être civilisés et devenus ainsi bêtes à manger du foin ?

Solon

On peut comprendre l'intérêt que Monsieur Bilger porte à la conduite de personnages dont il a eu à traiter dans sa carrière. Mais pour ce qui me concerne, je suis un peu excédé par la fascination des lecteurs, auditeurs, téléspectateurs pour les faits divers en général. Fascination à mon sens un peu morbide. Il vaudrait mieux laisser aux services spécialisés la charge des individus déviants puisqu'ils se réjouissent de la notoriété de mauvais aloi qui leur advient dans les médias, et consacrer plus de temps à d'autres sujets.

sylvain

@ Achille
"les racailles qui tuent sans états d’âme pour un téléphone portable, voire parfois pour un simple mauvais regard."

Allez vous plaindre auprès de votre ami Macron qui en est responsable, c'est son crime d'État en bandes organisées en application des règles criminelles de l'UE mafia importatrices de racailles.

Achille

« Il ne m'avait rien promis, jamais, mais pourtant c'est comme s'il m'avait trahi. Les étincelles d'espérance qu'on pose sur une destinée malfaisante ne devraient jamais être détruites. » (PB)

Même 19 années de prison n’ont aucun effet dissuasif sur un individu foncièrement asocial, donc non formaté pour se soumettre aux règles de vie en société. Ce n’est même pas une question d’éducation dès sa plus tendre enfance, ce comportement est enfoui au plus profond de sa nature.
Un peu comme un loup préfèrera toujours la vie sauvage, contrairement à un chien qui peut devenir le meilleur compagnon de l’Homme.

Mais ces truands, même s’ils sont malfaisants, sont quand même moins méprisables que les racailles qui tuent sans états d’âme pour un téléphone portable, voire parfois pour un simple mauvais regard.

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