Nicolas Demorand (ND) vient de publier un livre, "Intérieur nuit" où il révèle (Le Point) que depuis de très longues années il souffre de bipolarité, une maladie mentale qui a été mal soignée jusqu'en 1997 parce qu'elle était qualifiée de dépression.
L'entretien que donne l'auteur, connu et apprécié même par ceux qui ne raffolent pas de la Matinale de France Inter qu'il anime avec Léa Salamé, est très éclairant et sans la moindre concession à l'euphémisation. Il présente, avec une vérité crue, les ravages de cette maladie dans la quotidienneté, les moyens d'en apaiser les effets, ce qu'il faut éviter, ce qui est recommandé. Parce que rien n'est pire que la gêne maladroite ou l'insistance mal avisée dont on fait preuve, parfois, face à des malades sur lesquels on compatit autant qu'ils vous agacent. Ainsi, "si je ne peux pas prendre une douche, c'est parce que ce n'est pas possible, et non parce que j'aime la crasse".
Jamais personne n'a pu soupçonner, dans sa pratique professionnelle, que ND était atteint de la sorte. Peut-être, dans sa période télévisuelle qui n'était pas faite pour lui et qu'il paraissait mal vivre, des signes nous seraient-ils fugacement apparus ?
ND m'en a autant appris sur moi-même que sur lui.
Dans ce registre de la maladie mentale comme dans beaucoup d'autres, je n'ai jamais douté de la validité de cette salubre injonction de ND : "Je voudrais dire à tous ceux qui souffrent qu'il est possible de parler. Crever en silence n'est pas un destin". Je n'ai pas non plus, au nom d'un pragmatisme ignorant que précisément la maladie mentale empêche les dérivatifs ("il faut lire ou il faut sortir prendre l'air..."), recommandé de telles recettes à des personnes ainsi touchées.
Mais comme trop souvent, j'ai abusé d'une conception volontariste de l'existence pour dire n'importe quoi à ceux qui précisément souffraient d'une maladie qui bloquait la mise en oeuvre de la moindre volonté ! Il y avait de ma part la méconnaissance de ce qu'est véritablement une maladie mentale. Grâce à ND, on prend de plein fouet, sans pouvoir s'abriter derrière des banalités, le choc au quotidien de la bipolarité.
J'abusais également de cette certitude rassurante qu'il n'est pas de déséquilibre personnel qu'on ne puisse surmonter ou au moins intégrer à un dispositif psychologique plus vaste qui l'exploiterait pour le meilleur. Je m'entends proférer, à l'égard d'êtres qui m'ont été et me sont chers, cette antienne que "quand on veut, on peut" parce que je ne parviens pas à accepter l'idée d'une humanité totalement dépossédée de sa maîtrise sur elle-même.
Cette prise de conscience des affres de la maladie mentale - tout cela encore une fois à cause de l'irruption brutale, dans mon ignorance, de l'enfer décrit par ND - m'a aussi incité à revisiter beaucoup de mes attitudes humaines et professionnelles, notamment judiciaires. J'ai d'ailleurs été touché par le fait que ND rende hommage à Jean-Pierre Olié, décédé en 2023, que j'avais connu comme grand expert judiciaire aux assises et qui a été le premier à avoir formulé le bon diagnostic pour ND. Je n'ai pas remis en cause ma passion pour la psychologie des êtres, qui m'a, parfois de manière excessive, rendu plus sensible aux ombres qu'aux lumières, aux tréfonds qu'à la superficie mais, au regard de cette sombre clairvoyance instillée par ND, je l'ai relativisée, j'ai mieux défini ses limites.
Comme si je m'étais arrêté à un niveau intermédiaire qui donnait une sorte de culture générale pour l'approfondissement d'autrui, une manière d'intérêt sincère pour la richesse des remous intimes de tout un chacun mais, en même temps, créait un blocage pour une authentique compréhension des maladies qui pouvaient affecter durablement l'humain.
J'ai en mémoire beaucoup de mes questionnements aux assises qui, ne surjouant pourtant jamais la curiosité - la qualité essentielle pour un avocat général conséquent -, me permettaient de m'abandonner à une pratique qui ne dépassait pas un humanisme de bon aloi, sans m'interroger sur la maladie profonde susceptible d'avoir gangrené tel ou tel accusé qui, ayant été déclaré responsable, demeurait donc dans mon champ de compétence.
J'ai aussi probablement fait un sort trop complaisant à cette difficulté d'être, signifiant peu ou beaucoup, représentant une explication passe-partout pour des troubles évidents et m'ayant servi, dans mes jeunes années, à me rendre intéressant avec l'invocation d'un romantisme pessimiste et apparemment lucide.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, je n'ai jamais quitté mon sujet en dénonçant "mon infinie bêtise de bien-portant" face à l'insoutenable souffrance des bipolaires. Elle ne relève pas d'échanges de salon mais est susceptible de briser une vie. À perpétuité. J'écris "est susceptible" parce que ND tient plus que tout à sauver, dans cette existence si régulièrement assombrie et ligotée dans son élan, la possibilité de joie, de bonheur et d'espoir qu'elle n'étouffe pas.
Le plus beau cadeau à offrir à ND sera paradoxalement de continuer à l'écouter comme avant.
Le palais gruyère de l'avenue du président Kennedy est aux mains de gens malades qui font travailler des gens malades pour rendre tous les gens malades.
La seule solution pour changer cette situation est de couper l’eau et l’électricité.
Rédigé par : Vamonos | 14 avril 2025 à 05:18
@ Lodi | 05 avril 2025 à 07:16
Bis repetita ou ter ou... Ce n'est pas un vaccin ! Au même titre que le virus, comme commence à le reconnaître madame Buzyn, n'est pas le produit d'une chauve-souris ou d'un pangolin selon la légende urbaine dont nous ont bassinés les médias. Dés le début le professeur Montagnier avait dit sous les quolibets qu'il n'avait rien de naturel.
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@ Herman Kerhost | 05 avril 2025 à 14:58
Connaissant cette personne et son parcours, je peux vous certifier que son cancer de l'utérus métastasé avait fort peu de chances d'être naturel. De plus à son âge et vu son état de santé on ne meurt pas d'une grippe qu'était le covid. À ce sujet je vous conseille le livre de Pierre Chaillot qui a étudié les statistiques officielles de l'INSEE et le camouflage sous la qualification" tout est covid". Par contre il sera difficile d'expliquer votre théorie aux familles du village dont un membre est décédé d'une leucémie foudroyante ainsi que notre docteur itou d'un cancer foudroyant des poumons associé à un AVC. Tous étant par ailleurs en bonne santé.
Petit à petit le déni se déchire dans notre petite communauté villageoise et les gens autour de nous commencent à se poser des questions sur cette loi des séries. Tant mieux si ce n'est pas le cas pour votre entourage. Et tant mieux que mon entourage proche ne soit pas "vacciné".
https://www.liberation.fr/checknews/pas-de-surmortalite-ni-de-saturation-hospitaliere-le-grand-theatre-covido-sceptique-de-pierre-chaillot-en-librairie-12-20230406_DYCFILG2ABESNFGGOLKTIV2SIA/
Rédigé par : hameau dans les nuages | 05 avril 2025 à 23:06
@ Robert Marchenoir | 4 Avril 2025 à 4:51 (@hameau dans les nuages)
"C'est certes regrettable, mais il vaut mieux un mort du vaccin anti-Covid, ou dix, ou cent, que des millions de morts du Covid en plus."
D'autant que rien n'exclut que Sonyia B. serait morte du Covid si son virus l'avait contaminée. Les contempteurs du vaccin oublient toujours cette éventualité...
Rédigé par : Herman Kerhost | 05 avril 2025 à 14:58
@ hameau dans les nuages
@ Robert Marchenoir
Robert Marchenoir se donne la peine de renvoyer aux notices de médicaments, et cela, sans effet.
À mon avis, c'est parce que les gens ne comprennent pas vraiment le vaccin, autant pour la France, qui se vante de Pasteur.
Dans le vaccin, on n'attend pas d'être malade, et donc, d'infecter les autres, on va se faire vacciner, on va au-devant d'un danger, certes très relatif, mais on y va.
Or les gens ont tendance, dans la vie, à réagir plutôt qu'à agir, et il arrive que beaucoup minimisent l'évaluation des risques qu'ils font prendre aux autres.
Il y a tant de biais dans nos perceptions et nos raisonnements. Bref, s'avouer son irresponsabilité est difficile pour l'image qu'on se fait de soi, le confesser à autrui également pénible. Et puis, plus on a tort, plus on a eu tort, et plus il faut s'imaginer prouver qu'on a raison.
D'où les combats des antivax qui devraient plutôt avoir la décence, si ce n'est de s'excuser, de se faire oublier après les torts dont ils se sont rendus coupables.
Bien sûr, malgré le fait qu'on n'ait pas protégé les autres, il faut se considérer comme quelqu'un de bien, donc raconter sa vie, et puisqu'il est en vérité peu de gens sans quelque bonne action à narrer, on ne se gênera pas pour se montrer dans ses œuvres.
D'ailleurs, tout est toujours ramené à l'anecdote pour que l'arbre cache la forêt, par exemple que le vaccin protège, et que sans industrie médicale, nous serions bien en peine d'être soigné.
Taper sur les vaccins et Big Pharma fait autant de bien à certains qu'incendier les voitures, tout en vivant dans un monde où on ne manque pas de véhicule pour se déplacer, la contestation pour rien avec le confort.
Contestation pour rien ? Pour rien de réel en l’occurrence, mais je ne doute pas qu'un manque, d'argent, de sens, d'écoute dans des domaines où on serait sans doute plus pertinent, ne provoque ces excès.
Mais ceux qui en subissent les conséquences n'y sont pour rien, les malheureux !
Il n'était pas juste d'exposer des innocents à ce que l'on peut résumer être la contagion de ses malheurs.
Marcher fait bouger le corps de façon naturelle tout en amenant à dépasser ses limites, et il est vrai aussi que cela fait avoir des idées... Mais ce n'est pas le seul moyen de progresser : reconnaître ses torts en fait aussi partie, comme quand, s’égarant sur le chemin, on se reconnaît perdu pour retrouver sa voie, chacun pouvant se trouver dans l'un ou l'autre rôle selon les circonstances.
Rédigé par : Lodi | 05 avril 2025 à 07:16
@ hameau dans les nuages | 04 avril 2025 à 11:14
"Vous êtes d'une mauvaise foi absolue."
Moi, non. C'est vous que vous décrivez ainsi, selon la rhétorique habituelle des complotistes.
Et des poutinistes, d'ailleurs : vous n'êtes pas poutiniste par je ne sais quelle conviction pro-russe. Vous l'êtes parce que cette doctrine vous offre un blanc-seing pour la mauvaise foi et l'inversion accusatoire.
Je viens de vous démontrer que tous les médicaments étaient susceptibles d'avoir des effets indésirables graves, voire mortels.
Pas seulement les vaccins contre le Covid ; pas seulement les vaccins développés en toute hâte, au prix d'immenses efforts, pour enrayer une pandémie mortelle provoquée par un virus inconnu ; pas seulement tous les vaccins ; pas seulement tous les médicaments ; mais même des médicaments testés depuis plus d'un siècle auprès de l'ensemble de la population mondiale, et si inoffensifs, relativement parlant, qu'ils sont accessibles sans ordonnance.
Vous, vous affirmez que les vaccins ne devraient jamais avoir d'effet indésirable, faute de quoi ce serait une conspiration mondiale qu'il faudrait condamner avec la dernière énergie.
Et vous dites qu'il faudrait interdire les vaccins contre le Covid, sous prétexte qu'ils peuvent avoir des effets indésirables.
"Une pensée pour Sonyia B.. en parfaite santé, triple dosée pour pouvoir travailler, qui vient de quitter cette terre."
Tiens donc. Sonyia B. Pas de nom de famille, pas de source, pas de lien, information invérifiable. C'est une délinquante arabe, c'est pour cela que vous ne donnez pas son nom ?
Mais je vous rassure : faute de Sonyia B., il y a effectivement un certain nombre de gens qui sont morts suite à une vaccination contre le Covid.
C'est normal. C'est la vie. Ce n'est pas un scandale. Et c'est encore moins un secret, contrairement à ce que vous prétendez.
C'est certes regrettable, mais il vaut mieux un mort du vaccin anti-Covid, ou dix, ou cent, que des millions de morts du Covid en plus.
C'est cela, la déontologie médicale et le "serment d'Hippocrate", figurez-vous. C'est cela, la morale commune, la morale chrétienne, enfin toutes les morales que vous voudrez.
C'est la règle que revendiquent et appliquent tous les hommes de tous les pays du monde, de toutes les cultures, de toutes les religions et de tous les bords politiques. En toute circonstance. Pas seulement en matière de médecine.
Y compris ceux qui font partie de l'infime minorité des complotistes covidiques comme vous.
Car je ne vois nulle part, dans votre réplique, d'affirmation que vous n'avez jamais pris d'aspirine ou de paracétamol dans votre vie, que vous n'en avez jamais acheté pour votre épouse, que vous n'en avez jamais administré à vos enfants.
Or, je viens de vous démontrer (enfin, de rappeler, car c'est de notoriété publique), que ces deux médicaments extraordinairement courants sont susceptibles de provoquer (comme les autres) des effets indésirables graves pouvant aller jusqu'à la mort.
Mais vous ne ferez croire à personne - et d'ailleurs, vous n'essayez même pas - que vous refusez de vous faire soigner sous prétexte que ce serait dangereux.
Vous ne ferez croire à personne que vous refusez de vous faire soigner du cancer sous prétexte que vous pourriez en mourir. Je vous signale que n'importe quelle opération chirurgicale est susceptible de provoquer la mort.
Je vous signale que le traitement de nombreux cancers (pour ne parler que de cette maladie) est susceptible de provoquer, voire entraîne de façon certaine, des effets indésirables graves et permanents.
Et tout le monde les accepte, car tout le monde préfère l'invalidité à la mort.
Et vous, concernant uniquement le Covid (pas le cancer, pas le mal de tête, pas le diabète, pas la maladie cardiaque...), vous prétendez qu'il existerait un paradis terrestre où la médecine pourrait être efficace à 100 %, sans le moindre risque.
Vous mentez ouvertement. Vous mentez à la face du monde. Vous savez que vous mentez, puisque ne mettez pas votre comportement en accord avec vos assertions.
Vous êtes, comme vous dites, "d'une mauvaise foi absolue".
Et sinon, sur la maladie mentale et la bipolarité dont souffre Nicolas Demorand, vous auriez quelque chose d'intelligent à dire ?
Ou vous n'intervenez ici que pour tout ramener au mensonge récurrent des négationnistes covidiques qui affirment simultanément que a) le Covid n'existe pas, b) qu'il existe, mais qu'il ne faut pas le prévenir par la seule méthode efficace qui est le vaccin ?
Comportement caractéristique d'une véritable maladie mentale, du coup.
______
Note : votre lien (vers un montage vidéo extraordinairement confus et peu fiable fait par un anonyme sur Twitter) prétend démontrer que le vaccin anti-Covid de Pfizer ne serait pas entièrement efficace. Mais personne ne prétend qu'aucun vaccin serait efficace à 100 %. Ni inoffensif à 100 %.
Ce sont les complotistes covidiques comme vous qui attribuent faussement cette assertion à leurs adversaires, puis entreprennent de la réfuter facilement, puisqu'elle est absurde.
C'est un procédé habituel de la rhétorique communiste : puisque le libéralisme ne conduit pas avec une fiabilité absolue au paradis terrestre (contrairement au communisme, selon ce que prétend la doctrine), alors il est bien évidemment le mal absolu.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 avril 2025 à 20:51
@ Robert Marchenoir | 04 avril 2025 à 01:55
Mauvaise foi absolue, suite.
Documents Pfizer retranscrits dans le Vidal, mon ami :
https://x.com/i/status/1907278566523601367
Rédigé par : hameau dans les nuages | 04 avril 2025 à 16:18
@ Robert Marchenoir | 04 avril 2025 à 01:55
Vous êtes d'une mauvaise foi absolue et je vous sens gêné aux entournures. Vous pouvez aussi ajouter les effets secondaires du sel et du sucre. Une pensée pour Sonyia B. en parfaite santé, triple dosée pour pouvoir travailler, qui vient de quitter cette terre.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 04 avril 2025 à 11:14
@ hameau dans les nuages | 01 avril 2025 à 13:11
"Je reprends cette phrase hallucinante du commentaire de Robert Marchenoir :"
"D'autres peuvent avoir des effets secondaires, parfois graves. C'est normal. C'est ainsi que la médecine progresse."
"Enfin hallucinante non, j'ai maintenant une certaine habitude de ce loustic jouant les commandeurs. Ainsi donc il reconnaît le rôle du patient comme rat de laboratoire sur lequel on peut faire des essais."
"Tous les médicaments sans effets secondaires connus depuis des dizaines d'années ont été suspendus car le vaccin covid ne pouvait être promu en urgence QUE s'il n'y avait pas de médicaments alternatifs. Je ne vais pas les citer [...]"
"Monsieur Marchenoir ne connaît pas le 'primum non nocere' prononcé par les médecins lors de leur prestation de serment. Il fait passer la 'science' avant la médecine. Il aurait été un bon docteur Knock."
On ne sait ce qu'il faut le plus admirer chez vous : la gentillesse du chrétien, si humble qu'il tient à nous rapporter ses actes d'hospitalité sur le chemin de Compostelle ; l'honnêteté rigoureuse, l'intelligence étincelante ou la profonde connaissance de la science et de l'éthique médicales.
Je passe sur le fait que nous parlons ici de maladie mentale, et que vous tenez à détourner la conversation en faveur de votre obsession covidique.
La grande majorité des médicaments connus peuvent avoir des effets indésirables, susceptibles d'aller jusqu'à la mort.
Dans ce sens, en effet, tous les patients sont des "rats de laboratoire sur lesquels on peut faire des essais", vous compris.
Désolé pour votre vanité. Je comprends que vous vous pensiez largement supérieur à un rat, mais que voulez-vous, la nature humaine s'impose à chacun d'entre nous.
Il faut croire que vous n'avez jamais lu la notice de l'un des médicaments que vous avez pris au cours de votre vie. Ou bien que vous n'avez jamais absorbé de médicaments. Ou encore que vous militez pour leur interdiction totale.
Afin de vous instruire sur ce qui n'est chez vous, très certainement, qu'une bévue involontaire, je vous recopie ci-dessous de très courts extraits des rubriques appropriées de la notice de deux médicaments courants.
MÉDICAMENT 1
Effets indésirables
"Éruption ou rougeur cutanée ou réaction allergique pouvant se manifester par un brusque gonflement du visage et du cou pouvant entraîner une difficulté à respirer (œdème de Quincke) ou par un malaise brutal avec chute de la pression artérielle (choc anaphylactique). Il faut immédiatement arrêter le traitement, avertir votre médecin et ne plus jamais reprendre ce médicament."
"Éruption cutanée en plaques rouges arrondies avec démangeaison et sensation de brûlure laissant des taches colorées et pouvant apparaître aux mêmes endroits en cas de reprise du médicament (érythème pigmenté fixe), difficulté à respirer (bronchospasme)."
"Diarrhées, douleurs abdominales, anomalie du bilan hépatique, excès d'acide dans le sang."
Contre-indications
"Si vous prenez de la flucloxacilline (antibiotique), en raison d'un risque grave d'anomalie sanguine et plasmatique (acidose métabolique à trou anionique élevé) qui doit faire l'objet d'un traitement urgent et qui peut survenir notamment en cas d'insuffisance rénale sévère, de septicémie (lorsque des bactéries et leurs toxines circulent dans le sang entraînant des lésions aux organes), de malnutrition, d'alcoolisme chronique et si les doses quotidiennes maximales sont utilisées."
Surdosage
"La prise de plusieurs doses en une administration peut gravement endommager le foie."
"Le risque d'une intoxication grave (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle) peut être particulièrement élevé chez les sujets âgés, chez les jeunes enfants, chez les patients avec une atteinte hépatique, en cas d'alcoolisme chronique, chez les patients souffrant de malnutrition chronique, jeûne, amaigrissement récent, cholémie familiale (syndrome de Gilbert) ainsi que les patients recevant des médicaments inducteurs enzymatiques. Dans ces cas, l'intoxication peut être mortelle."
"Action requise : transfert immédiat en milieu hospitalier, pour des soins médicaux d’urgence, malgré l’absence de symptômes précoces significatifs."
MÉDICAMENT 2
Effets indésirables
"Des hémorragies gastro-intestinales ou des ulcères/perforations peuvent se produire à n'importe quel moment au cours du traitement sans qu'il y ait nécessairement de symptômes préalables ou d'antécédents."
"L'utilisation régulière peut conduire à des lésions rénales persistantes avec un risque d'insuffisance rénale."
"Syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura...) avec augmentation du temps de saignement."
"Urticaire, réactions cutanées, réactions anaphylactiques, asthme, œdème de Quincke."
Contre-indications
"Expose à un risque de mort fœtale même après une seule prise en raison de sa toxicité cardio-pulmonaire."
"Des syndromes de Reye (maladie rare mais très grave associant principalement des troubles neurologiques et une atteinte du foie) ont été observés chez des enfants présentant des maladies virales."
Surdosage
"L’intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) où elle peut être mortelle."
"Action requise : transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé."
Le premier médicament est le paracétamol, plus connu sous l'une de ses marques les plus vendues, le Doliprane.
Cette molécule est tellement "expérimentale", selon votre verbiage habituel, qu'elle a été commercialisée pour la première fois en 1953. Et personne n'a besoin de la "prescrire" : elle est disponible en vente libre, sans ordonnance.
Le second médicament est l'acide acétylsalicylique, plus connu sous son nom commercial d'aspirine. Il a été mis en vente pour la première fois en 1899. Pas franchement "en phase expérimentale", non plus, et disponible lui aussi sans ordonnance. Mais potentiellement mortel, comme le Doliprane. À l'instar d'innombrables médicaments "inoffensifs, pas chers et tombés dans le domaine public" que vous prenez sans y penser.
Je sais que vous aurez à coeur de mettre à profit cette stupéfiante découverte pour apaiser votre soif de savoir : voici la base de données officielle des médicaments, qui est accessible à tous.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 avril 2025 à 01:55
@ duvent | 01 avril 2025 à 09:59
Je reprends cette phrase hallucinante du commentaire de Robert Marchenoir :
"D'autres peuvent avoir des effets secondaires, parfois graves. C'est normal. C'est ainsi que la médecine progresse"
Enfin hallucinante non, j'ai maintenant une certaine habitude de ce loustic jouant les commandeurs. Ainsi donc il reconnaît le rôle du patient comme rat de laboratoire sur lequel on peut faire des essais. On l'a vu avec le vaccin covid, une thérapie génique dont les essais avaient été écourtés vu les dégâts notamment sur les enfants immunodéprimés, provoquant peut-être des cancers entre autres conséquences.
Tous les médicaments sans effets secondaires connus depuis des dizaines d'années ont été suspendus car le vaccin covid ne pouvait être promu en urgence QUE s'il n'y avait pas de médicaments alternatifs. Je ne vais pas les citer... ils ne seront pas cités... alors que des États américains les rendent à nouveau en vente libre.
Monsieur Marchenoir ne connaît pas le "primum non nocere" prononcé par les médecins lors de leur prestation de serment. Il fait passer la "science" avant la médecine. Il aurait été un bon docteur Knock.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 01 avril 2025 à 13:11
@ Robert Marchenoir | 31 mars 2025 à 02:39
« Les mécanismes à l'origine des maladies mentales sont inconnus ou mal connus pour l'instant. Certains médicaments peuvent être efficaces sans que l'on sache pourquoi. D'autres peuvent avoir des effets secondaires, parfois graves. C'est normal. C'est ainsi que la médecine progresse. Tout le monde préfère être soigné imparfaitement que n'être pas soigné du tout. De toutes façons, la médecine échoue à la fin. »
Sommes-nous d'accord pour dire que si une personne saine de corps et malade mentalement est rendue invalide ou morte par le biais de soins médicamenteux, nous avons des raisons raisonnables de ne pas nous fier à des charlatans, des augures, des merlins, des freuds, et autres ordures patentées ?
Bon, il n'y a pas de quoi se mettre la rate au court-bouillon ! Car Robert Marchenoir, nous dit ceci : « De toutes façons, la médecine échoue à la fin. »
Et ça c'est vrai ! La vie est un petit voyage, que les apothicaires ont voulu agrémenter de liqueurs, breuvages et autres rafraîchissements inutiles, pallida mors aequo pulsat !
Rédigé par : duvent | 01 avril 2025 à 09:59
Demorand est un journaliste de France Inter, tous les journalistes de France Inter sont malades, Demorand est donc malade.
Oui, ils sont tous malades parce qu’ils se moquent de leurs auditeurs, de la réalité et d’eux-mêmes. L’idéologie doit s’imposer, les informations doivent être conformes, la vérité doit être modelée inlassablement par petites touches successives et certains mensonges sont tellement repris en boucle qu’ils deviennent des dogmes.
Depuis le temps qu’ils vivent dans les mensonges, que les auditeurs le constatent et le subissent, c’est devenu poisson d’avril tous les jours et pas seulement aujourd’hui.
Rédigé par : Vamonos | 01 avril 2025 à 04:00
@ Axelle D | 31 mars 2025 à 14:09
"Les hurluberlus, les gauchisses et les Rocambole de carnaval sont à la fête !"
Surtout les Rocambole et Pinocchio de notre justice gauchiste déjantée paranoïaque anti-Le Pen et anti-Sarko, c'est hallucinant, quel spectacle ubuesque !
Rédigé par : sylvain | 31 mars 2025 à 15:45
@ sylvain | 31 mars 2025 à 11:56, dernier paragraphe
À propos de se retourner et rouler en marche arrière, ne pas oublier que le 31 mars est aussi la "Journée internationale de visibilité transgenre" ou TDoV (Trans Day of Visibility)...
Les hurluberlus, les gauchisses et les Rocambole de carnaval sont à la fête !
Rédigé par : Axelle D | 31 mars 2025 à 14:09
31 MARS 2025 : date de l'infinie bêtise gauchiste qui restera à jamais marquée du sceau de l'infâmie judiciaire inquisition des juges rouges LFI HamaSS et leurs complices cabinets noirs mafieux de la macronie contre les gêneurs 2027 : Le Pen et son RN.
Ola géante chez les de gauche, enfin ça y est, le procès « re-ten-tis-sant » tant attendu contre Marine Le Pen galvanise tous les merdias et partis gauchistes, une curée sans précédent organisée par la macronie et ses complices PS PCF EELV LFI hamaSS : « haro sur le baudet RN » !
Bien entendu, déontologie et éthique seront évoqués devant ce bûcher judiciaire, ben voyons !
Tout le monde connaît par coeur les exploits criminels de cette mafia islamogauchiste juges rouges haineux revanchards coupables de mise à mort de centaines d'innocents par leurs protégés OQTF tueurs multirécidivistes multirelâchés, ben voyons !
Toute contestation de leurs verdicts et hop ! Fachos racistes etrêêmeuh drouaaaate ! Ben voyons !
J'ai attendu indéfiniment depuis ce matin le billet de Philippe en ce jour mémorable sur ce sujet, j’ai attendu, attendu, il n’est jamais venu, zaï zaï zaï zaï… pitète ben le changement d'heure, laissons-le roupiller.
Couin - couincidence, y a grève des astrologues, leurs boules de cristal ne pourront donner le verdict allah vance, cépazuste.
Un conseil, n'oubliez pas de vous retourner de temps en temps, l’avenir est souvent dans le dos, avancez en marche arrière c’est plus sûr.
Rédigé par : sylvain | 31 mars 2025 à 11:56
Nous avons tous en notre sein des tendances dépressives au même titre que nous avons tous des cellules cancéreuses. La maladie vient quand elles se développent. Faut-il encore en rechercher la cause au lieu de transformer la personne en distributeur de cachetons à vie ou de séances de radiothérapie ou de chimie.
On confond soigner et guérir. Il est vrai qu'une personne guérie est beaucoup moins intéressante financièrement parlant pour les labos pharmaceutiques.
Pour ce qui est des dépressifs "bipolaires", celui qui va venir peut-être chez moi cet été, je lui montrerai le Chemin. Le mal aux pieds, au dos, soigne le cerveau. Tous le disent, c'est le 3e jour le plus dur de ce chemin de croix, abandonne ! abandonne ! commande le cerveau, mais la résurrection mentale est au bout du Chemin.
Ceux qui passent devant chez moi vers 14 heures au lieu habituellement de 11 heures sont dans cet état au bord de l'épuisement, en pleurs parfois, les jambes martyrisées. Je leur offre le café, nous blaguons au frais et si je les vois prêts à abandonner le voeu qu'ils avaient formulé, car derrière il y a souvent une histoire dramatique, c'est le gîte et le couvert offert. Requinqués ils repartent de bon matin. Ultréïa !
Rédigé par : hameau dans les nuages | 31 mars 2025 à 11:21
@ Serge HIREL 30 mars 16:45
Ci-après la définition de pseudo-maladie dans le sens où je l'avais employé :
"Le terme pseudo est "utilisé uni à certains noms pour marquer que la qualité qu'ils expriment est fausse, ou qu'elle ne convient pas à la chose ou à la personne. (Médecine) Qui ressemble à, mais est de nature différente."
La bipolarité n'étant en fait qu'une pathologie duelle : cyclothymie, manie dépressive, PTSD, etc. Par conséquent l'addition ou la conjugaison de plusieurs psychoses ou névroses qui n'en font pas pour autant une maladie nouvelle.
Rédigé par : Axelle D | 31 mars 2025 à 03:34
Quelques réflexions en vrac.
Tout d'abord, il est presque douloureux de vous voir fustiger votre "infinie bêtise de bien-portant". Mais peut-être n'ai-je rien compris. Ou bien y a-t-il là des choses qui ne regardent que vous.
Après avoir lu l'article du Point, il est impossible, sauf mauvaise foi, de penser que Nicolas Demorand est un malade imaginaire. C'est pourquoi je mets à disposition la version intégrale de ce texte.
La maladie mentale existe. Elle peut être terrible : le suicide en est la preuve. C'est une bonne chose qu'elle soit mieux diagnostiquée et mieux soignée. Personne ne songerait à regretter qu'on guérisse plus de malades du cancer aujourd'hui, ni que la tuberculose ait presque disparu chez nous (pas en Russie).
On a plus de chances de trouver un psychiatre d'exception, et de pouvoir lui téléphoner plusieurs fois par jour, si l'on est un journaliste-vedette que dans le cas contraire. En vouloir à l'intéressé pour cette raison ne saurait procéder que de l'esprit communiste le plus détestable. Tous souffrants, plutôt que la moindre inégalité : telle semble être la devise de certains.
La maladie mentale vient du cerveau, comme la maladie cardiaque vient du coeur. Il est par conséquent tout naturel qu'on emploie des médicaments pour l'une comme pour l'autre.
Les progrès de la neurologie sont fulgurants. On sait observer en temps réel les mécanismes biochimiques produits par la pensée dans le cerveau. Il n'y a aucune raison de douter que les avancées de la médecine permettront, demain, de soigner la maladie mentale bien mieux qu'aujourd'hui. Y compris en agissant directement sur le fonctionnement cérébral.
Les mécanismes à l'origine des maladies mentales sont inconnus ou mal connus pour l'instant. Certains médicaments peuvent être efficaces sans que l'on sache pourquoi. D'autres peuvent avoir des effets secondaires, parfois graves. C'est normal. C'est ainsi que la médecine progresse. Tout le monde préfère être soigné imparfaitement que n'être pas soigné du tout. De toutes façons, la médecine échoue à la fin.
Hier, certains patients atteints de poliomyélite devaient passer leur reste de leur vie dans un poumon d'acier, c'est à dire une boîte en métal. Ce n'était pas spécialement folichon. Grâce à la vaccination, ce n'est plus qu'un souvenir. Certains voudraient nous ramener à l'époque du poumon d'acier. Il convient de les "stigmatiser" autant que nécessaire.
En l'absence de médicaments efficaces, ou en complément, des thérapies de la parole ou du comportement peuvent apporter quelque soulagement à ceux qui sont affectés de souffrances psychiques. Il n'y a pas de raison de les rejeter a priori, à l'exception de la psychanalyse, dont les principes mêmes sont constitutifs du charlatanisme - pour ne pas parler de la biographie de son inventeur.
La preuve que la maladie mentale est constitutive de la nature humaine, tout comme la maladie ordinaire, est l'ancienneté des asiles de fous. Personne n'a envie de revenir aux conditions de vie qui y prévalaient, et pourtant il y a beaucoup de sans-abri et de prisonniers qui devraient se trouver dans des hôpitaux psychiatriques.
C'est une bonne chose que l'opinion publique prenne mieux conscience de la réalité des maladies mentales. Cependant, à notre époque dominée par les mouvements médiatiques de masse, cela entraîne deux conséquences funestes.
La première est la valorisation du trouble mental. Tout comme il n'y a plus de dames obèses, mais seulement des femmes qui "célèbrent leur positivité corporelle", la tentation est forte de glorifier ceux qui souffrent de désordres mentaux, au titre de la supériorité intrinsèque des victimes propre au wokisme. On ne saurait lutter efficacement contre une chose dont on se vante.
La seconde est l'apparition de malades imaginaires, et la transformation en pathologies des difficultés normales de l'existence. Déjà, aux États-Unis, on croise un peu partout des gens qui réclament des égards particuliers au prétexte qu'ils auraient été diagnostiqués sous l'acronyme ABC ou XYZ - voire en vertu d'affections psychiques inventées par leurs soins, introuvables dans les manuels. Une partie d'entre eux sont manifestement de grosses feignasses à la recherche d'un ticket d'exemption du moindre effort.
Une autre partie, cependant, sont des personnes véritablement perturbées, pour des raisons que l'on ignore. L'explosion apparente des désordres mentaux chez les écoliers est troublante.
L'une des pistes à explorer serait l'usage intensif du téléphone portable par les enfants en bas âge, à une période où le cerveau est encore en formation. Il est difficile de croire que cela n'est pas susceptible d'entraîner des conséquences désastreuses.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 31 mars 2025 à 02:39
@ Jean sans terre
Mais il suffit de lire Dostoïevski.
Le Christ se tait face à l'inquisiteur qui voulait le brûler lors de son retour à Tolède au XVe siècle, le regarde avec douceur pendant que le vieil homme lui explique pourquoi le peuple qu'il oppresse est incapable selon lui d'exercer la liberté de discerner mal et bien, puis il l'embrasse sur les lèvres avant de s'évanouir dans la nuit.
Tout est écrit et tout est accompli, vous avez toute liberté d'imiter l'autre côté à vous penser si particulier, pour rejoindre Nebout et Tipaza au snobisme de leur cyclothymique pathologie.
https://www.youtube.com/watch?v=uwW4xx8ENgM&t=23s
Rédigé par : Aliocha | 30 mars 2025 à 23:33
@ hameau dans les nuages
"J'ai une petite-fille déclarée HPI TDAH et à qui l'on prescrit un médicament pour qu'elle "aille mieux".
Ce qui se passe avec cette mode des "HPI" et "TDAH" est proprement stupide et donc scandaleux.
D'abord, sauf réel problème génétique, tous les enfants sont naturellement "HPI" ! Ils ont tous un haut potentiel intellectuel, tous ! Le mot important c'est potentiel qui est donc hypothétique.
Un enfant est comme un ordinateur dernier cri au disque dur d'une capacité de plusieurs dizaines de téraoctets vides qui ne demandent qu'à être remplis.
N'importe quel gamin avec l'environnement et donc l'éducation appropriés, c'est ça le "potentiel" de HPI, peut apprendre plusieurs langues en même temps, d'un ou plusieurs instruments de musique et devenir un virtuose avec du travail et plus si affinités, un champion d'échecs ou je ne sais quoi d'autre.
Tout dépend de l'éducation.
La plupart des mauvais élèves à l'école sont tout simplement des enfants qui s'ennuient et donc se déconcentrent et pensent à autre chose. Donc les profs pensent qu'ils sont idiots et ne s'en occupent pas et c'est un cercle vicieux.
Personnellement, à l'école j'ai toujours été plus intéressé par mes jolies petites camarades que par ce que racontaient les profs donc j'étais nul, donc ils me prenaient pour un crétin bon à rien jusqu'au jour où je faisais une ou plusieurs réflexions sur je ne sais quel sujet qui m'intéressait et je les voyais ouvrir de grands yeux et sourire du genre "mais il vachement intelligent en fait !" et à partir de ce moment, même si ensuite je ne faisais plus rien, ils m'aimaient bien parce qu'ils avaient compris qui j'étais. Mais peu importe mon cas.
Le cas du "TDAH", c'est encore pire que le "HPI" parce que c'est tout simplement un symptôme de l'enfant-roi prôné depuis 68.
Évidemment que des gamins dont on culpabilise les parents parce qu'ils les punissent quand ils font des bêtises vont faire n'importe quoi !
Sans parler des profs qui ne sont plus que des "accompagnateurs de développement personnel" des pauvres petits chéris bridés par l'horrible société patriarcale donc hétérosexuelle blanche.
Un gamin sans règles c'est un "HPD", Haut Potentiel Dictatorial, sauf que dans ce cas-là le potentiel devient certain et donc dangereux. Il suffit de voir l'actualité quotidienne.
Résumons. Pendant 50 ans on dit aux parents qu'il ne faut pas punir leurs gamins parce que ça traumatise les petits génies potentiels "HPI", donc les parents qui ne veulent que le bien de leurs rejetons s'exécutent et les laissent faire n'importe quoi et donc faire la loi, et 50 ans plus tard on dit aux parents dont les enfants sont naturellement devenus des dictateurs qu'ils sont "malades" et qu'il faut donc les soigner avec des médocs. Comme ça on en fait des drogués à vie.
Bravo !
Au moins, ils rempliront les poches des médecins, des psys, des alcooliers, des dealers et de "Big Pharma" (c'est les mêmes).
Rédigé par : Vive la France ! | 30 mars 2025 à 18:07
@ Aliocha
Aliocha poursuit dans son délire obsessionnel du mimétisme universel. Si on lui demandait qui lui imite, il répondrait sans difficulté le Christ. Je me demande s’il n’a pas oublié un intermédiaire : le personnage homonyme de Dostoïevski. Si c’est le cas, la psychopathologie pourrait être bien plus grave qu’il n’apparaît de prime abord. Un mimétisme à la puissance double, sans même rien dire de la dangerosité de qui se prend pour un nouveau Christ. J’imite celui qui imite le Christ. Imaginez que l’on imite Aliocha. J’imite celui qui imite celui qui imite le Christ. À la fin, le modèle originel est tout estompé et l’on se trouve à vivre au milieu de fous. Quel dommage qu’Aliocha ne cite pas quelle fin Dostoïevski envisageait pour son personnage christique.
Rédigé par : Jean sans terre | 30 mars 2025 à 16:36
La découverte sur les étals des libraires - toujours d'ailleurs en bonne place car c'est vendeur - des ouvrages de ces personnages ayant acquis une certaine notoriété et qui, utilisant celle-ci, éprouvent le besoin de nous narrer dans le détail leur intimité médicale, a le don de m'irriter au plus haut point.
Certains vont me rétorquer que ces témoignages ont certes leur utilité, d'abord pour ceux qui en sont les auteurs - une étape dans leur thérapie ? -, ensuite pour ceux qui sont atteints de la même pathologie et qui peuvent trouver là une aide pour mieux affronter celle-ci, même si chacun, confronté à cette épreuve, y fait face selon sa propre personnalité.
Combien d'autres en revanche ne liront ce type d'ouvrage que par pure curiosité, par pur voyeurisme, uniquement parce qu'il a été rédigé par tel auteur bénéficiant de telle notoriété, comme ils auraient acheté n'importe quelle revue de la presse people usant d'un titre racoleur pour relater les déboires de ce même auteur ?
Difficile en fait de savoir ce qui, chez l'auteur, l'emporte du désir sincère d'informer et d'aider les malades atteints de la même pathologie que lui ou de la volonté plus intéressée de se livrer à un réel exercice d'exposition pour capitaliser sur sa notoriété.
Nous vivons dans une société où il est de bon ton d'exposer ses problèmes, ses malheurs, d'offrir un visage de victime, ce qui est aussi une manière d'obtenir une reconnaissance. Pascal Bruckner n'a-t-il pas titré l'un de ses derniers livres « Je souffre donc je suis » ?
Rédigé par : Michel Deluré | 30 mars 2025 à 16:01
Contraposée du titre : son intelligence sans limite fait de ND un mal-portant.
Très astucieux :)
La normalité des individus est une décision fixée par un groupe ayant du pouvoir pour organiser la société.
Être déclaré/diagnostiqué bipolaire, et pire se sentir comme tel, s'apparente à l'acception d'une fatwa proférée par une personne en surplomb sur sa chaire de spécialiste. C'est une servitude volontaire.
Accepter sa définition par un tiers en position de puissance, c'est déjà être cuit. Mais en faire un livre, c'est aller mieux, en constituant, soi aussi, son petit groupe d'aficionados maraboutés.
Idem les neuroatypiques [en fait neuro-minoritaires] qui ne supporteraient que des alter ego. Pareil pour toutes les sectionnalités que de petits gourous en mal de troupeau font émerger.
Tout ce fin maillage de la société n'a qu'un but : tenir la société par ses divisions, empêcher les classes du bas de la pyramide de s'agréger en une classe économique possiblement dangereuse.
Rédigé par : elektra | 30 mars 2025 à 15:46
M’amie qui nous lit ici, en écho à ma blague sur l’aphasie de Nietzsche, me faisait remarquer que la solitude était aussi un moyen de rendre les gens fous, aphasiques, voire paranoïaques ou schizophrènes, incapables de supporter quoi que ce soit.
Jamais l’homme n’a été aussi isolé, replié sur lui-même que dans nos sociétés contemporaines. Sans doute la majorité de nos nouvelles maladies mentales provient-elle de cette séparation de l’homme d’avec son entourage, renforcée par un égotisme et une affirmation de soi sans pudeur et sans frein.
La logorrhée d’imprécations révoltées remplies de haine que l’on constate sur Internet précède peut-être d’un court instant l’aphasie et l’apathie qui menacent de la suivre lorsque les gens résignés n’offriront plus aucune résistance à ce qui les navre.
À observer les hommes en société, une impression désagréable monte à l’esprit. Les déshérités et les désespérés deviennent hystériques. Les mieux dotés et placés jouent encore une comédie humaine passable autant qu’ils en peuvent profiter. Lorsque ce n’est plus le cas, souvent ils s’effondrent dans un fracas saisissant, montrant toute la fragilité de leur précaire antérieur équilibre.
La santé mentale de la société devrait être déclarée grande cause nationale. Il n’en est rien. Les autorités préfèrent avoir à traiter avec une foule de zombies possédés sans plus de lien avec le monde des vivants, ou si vous préférez il est plus simple d’administrer des ectoplasmes apathiques que l’on aura préalablement terrorisés avec une vision de l’avenir de la société humaine effroyable et déprimante. Pour prix de leur coupable complaisance, ceux-là demandent fort peu dans le fond, juste que le monde ancien se maintienne jusqu’à leur trépas et que leur progéniture puisse, le plus qu’il est possible, continuer à jouir des privilèges de l’ancien monde qui disparaît.
« Qu’avez-vous fait des talents que je vous avais confiés ? »
Rédigé par : Jean sans terre | 30 mars 2025 à 14:55
Notre pauvre Aliocha et son René Girard ; l'"allumé qui se prend pour un phare" et qui n'a rien compris aux sacrifices des mystères d'Eleusys ni à celui de Jésus.
Il s'agissait d'un acte éminemment volontaire et faisant l'honneur des familles, consistant à sacrifier sa vie pour éveiller la culpabilité et le repentir salvateur. La charité qui consiste par son sacrifice, à sauver l'âme de son prochain.
Le sacrifice de "Je sauve", que le chrétien a ainsi à contempler.
Et l'autre de nous parler de bouc émissaire...
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 30 mars 2025 à 14:05
@ Axelle D | 29 mars 2025 à 22:59
« cette pseudo-"maladie psychique"... »
Non. La bipolarité est un réel trouble mental identifié par la médecine psychiatrique, qui tâtonne encore sur les remèdes permettant de l’apaiser. Ces type de maladies, voici encore peu, étaient mal connus et valaient aux malades d’être tous qualifiées de « fous » ou de « cinglés ».
Les bipolaires, dans leur immense majorité, cachent leur état, y compris souvent à leurs proches et même à leurs médecins généralistes, peu formés pour la plupart à ce genre de diagnostic.
Cette réalité rend encore plus indécents les « coming out » de personnalités qui se prétendent atteintes et leur verbiage autour d’un vécu peut-être confus et désagréable, mais dont les causes sont autres... Honte aussi à ceux qui, plus sondeurs de l’âme que médecins, se rendent coupables de complicité en leur apportant le crédit de leurs diplômes.
Ces gens-là sèment le doute sur cette branche de notre système de santé encore trop peu développée. Même si la science démontre que la bipolarité est d’abord affaire de génétique, la découverte précoce de ce trouble, qui s’aggrave dans un environnement très souvent peu propice à le stabiliser, permettrait une prise en charge du malade avant qu’il n’atteigne un comportement qui conduira la société à le rejeter. En 1980, l’Éducation nationale employait 4 700 « psychologues ». En 2024, ils étaient 3 800...
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@ Giuseppe | 29 mars 2025 à 21:11
Pour compléter sa prose, pourriez-vous demander à l’IA si elle-même n’est pas atteinte de bipolarité ? Ce qui serait inquiétant pour ceux qui l’emploient...
Rédigé par : Serge HIREL | 30 mars 2025 à 13:45
@ Aliocha | 30 mars 2025 à 10:05
"Rien ici de génétique quand tout est mimétique..."
Où l'on regrette qu'Aliocha ne soit pas mime lui-même !
Rédigé par : Tipaza | 30 mars 2025 à 13:34
@ Vive la France ! | 30 mars 2025 à 00:20
« Vous savez d'où viennent les médocs pour les maladies mentales ? des tests des drogues de l'armée américaine qui cherchait des moyens de faire tenir les soldats de la Seconde Guerre mondiale et au Vietnam éveillés plus longtemps et qu'ils aient moins peur au combat. »
Du côté allemand, la drogue utilisée par les soldats était la Pervitine. C'était une méthamphétamine qui augmentait l'endurance, supprimait la peur et permettait de rester éveillé pendant de longues périodes. Elle était surnommée la "pilule miracle" et distribuée en masse aux troupes. Cependant, ses effets secondaires étaient dévastateurs, entraînant une dépendance et des problèmes de santé graves.
Rédigé par : Exilé | 30 mars 2025 à 13:03
@ Vive la France ! | 30 mars 2025 à 00:20
Merci pour ce commentaire édifiant. J'ai une petite-fille déclarée HPI TDAH et à qui l'on prescrit un médicament pour qu'elle "aille mieux". La pré-adolescence et l'adolescence deviennent aussi une maladie. J'ai dû être un grand malade.
"Toute personne bien-portante est un malade qui s'ignore" Docteur Knock.
Chantal Goya pourrait chanter: "La statine ! C'est ma cousine !"
Le corps médical devient un grand corps malade.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 30 mars 2025 à 11:33
Voilà qui confirme que le monde est une vaste clinique où ceux qui se pensent bien-portants sont ceux qui admettent que leur moi est une relation qui décentre plutôt qu'elle ne recentre, favorisant l'acceptation qu'il n'y a d'autre domination possible que dans l'acceptation de cette réalité.
La relation est une souffrance tant qu'on n'a pas compris qu'elle mène à la grande route des élans vitaux où le moi mortel n'est rien, comme ne sont rien les bouffons sous kétamine ou les Néron de Mar-a-Lago, quand la paille du jugement de l'autre se retourne en poutre du jugement de soi, et qu'il ne reste plus qu'à s'étourdir jusqu'à vouloir se supprimer pour ne pas avoir à reconnaître que notre identité n'est que l'image que l'autre se fait de nous, sur laquelle nous n'avons aucun pouvoir.
Rien ici de génétique quand tout est mimétique et qu'il ne sert à rien d'ériger des bûchers pour continuer à s'illusionner sur nous-même, on finit toujours alors par soi-même se mutiler ou vouloir éliminer autrui pour continuer à se penser omnipotent, alors qu'il suffit de reconnaître cette incapacité, Demorand comme ici notre hôte accèdent à cette rédemption, pour alors arriver aux embouchures d'acceptation de notre condition.
Quand on comprend que notre moi est une imitation et qu'il ne reste plus qu'à renoncer à l'orgueil trompeur qui voudrait en faire modèle, on n'a plus besoin d'immoler le modèle qui s'est offert à cette méprise pour nous permettre d'entendre et d'en imiter la parole originelle, à notre place seconde pardonnée d'avoir osé se penser première, enfin à même d'exercer la liberté d'acceptation de notre condition pour renoncer aux tentations, parfaitement délivrés des illusions du mal.
Rédigé par : Aliocha | 30 mars 2025 à 10:05
@ Achille
L'intelligence de Demorand n'est pas en cause, mais une fois de plus on est confronté avec ce type d'individus au dilemme de la confrontation de l'intelligence et du caractère.
Du fait de la médiatisation à outrance des personnages comme lui et BHL, je les associe parce que tous deux présentent le même exhibitionnisme, par nature et intérêt, et les rend insupportables quand on compare leur sort à celui d'autres vraies victimes du sort.
La mode est à la compassion éternelle des victimes.
Dans la Grèce antique, c'était le héros qui était célébré, à présent c'est la victime, réelle ou autoproclamée, qui est portée sur le pavois de la célébrité.
C'est dire si les siècles ont passé et même trépassé pour ce qui concerne la fabrication des mythes.
Tenez, il n'y a pas longtemps, avant que la bien-pensance nous pourrisse la vie, la vraie vie, nous avions le spectacle de superbes strip-teaseuses qui dévoilaient un corps splendide - j'ai une excellente mémoire visuelle, et pas seulement pour les textes écrits - et voilà qu'à présent, par la grâce, ou la disgrâce plutôt, du temps, nous avons droit à des strip-teaseurs qui dévoilent leurs tortuosités mentales qui ne valent pas les douces onctuosités de leurs modèles féminins - c'est terrible la mémoire ! ;-)
Et qui plus est, ces gens-là, exhibitionnistes de métier, demandent l'obole due à la victime autoproclamée en vendant des livres ineptes par lesquels ils expriment qu'ils n'ont rien à dire d'intéressant hors de leurs petites personnes.
Pas même l'extase métaphysico-physique - ben si quand même - d'une sainte Thérèse d'Avila ou d'un saint Jean de la Croix.
Et le pire c'est que beaucoup tombent dans le piège et les plaignent, alors qu'une journée aux champs avec une pioche et une pelle les guérirait certainement des affres métapsychologiques qui les frappent. De ce point de vue, le camarade Mao n'avait pas complètement tort. Le travail physique est souvent un excellent remède que j'avoue avoir toujours évité soigneusement, surtout le dimanche.
Mais je n'ai jamais été médiatisé, donc je n'avais pas besoin de me soigner.
Rédigé par : Tipaza | 30 mars 2025 à 09:31
Un ennui accablant me submerge quand quiconque commence à me parler du détail de ses ulcères, des protocoles qu’il suit, des médicastres à qui il fait confiance ou pas, des pilules qu’il prend, des taux de je ne sais pas quoi qui ressortent de ses analyses ; un pensum.
Alors l’idée d’aller acheter les gémissements gribouillés d’un Nicolas Demorand m’est étrangère. Certes sa voix blanche dans sa Matinale m’avait toujours intrigué ; je l’attribuais à des manques ou des excès que je ne me souciais guère d’identifier.
Ce qui m’indispose ce sont ces éditeurs qui osent publier des écrits d’un exhibitionniste à l’usage de voyeurs.
Rédigé par : Olivier Seutet | 30 mars 2025 à 09:27
Étant devenus intelligents, on ne vit plus en famille et on met ses vieux en EHPAD. Aussi, nous n'avons pas de problèmes psychologiques, mais psychiatriques et encore mieux : de génétique.
On ne va quand même pas culpabiliser du "progrès" !
D'ailleurs, a-t-on remarqué qu'on parle toujours de l'invasion islamique sans s'intéresser à l'Islam ? Surtout pas, des fois que...
C'est que dans l'Islam, par exemple, vivre avec ses vieux et ne pas les coller en maison de retraite, c'est la loi, au cas où par extraordinaire on ne mourrait pas de honte à faire autrement !
Comme chez nous jadis, et parfois encore à la campagne...
Vous avez dit "bipolarité" ?
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 30 mars 2025 à 06:31
Difficile de dire ce qui est normal ou non, débat qui touche à la médecine mais aussi à la vision du monde.
Ce qui est vrai c'est que si tout n'est pas souffrance, il y en a assez pour que Bouddha ait dit avec justesse : « La naissance est souffrance, la vieillesse est souffrance, la maladie est souffrance, la mort est souffrance, être uni à ce que l'on n'aime pas est souffrance, être séparé de ce que l'on aime est souffrance, ne pas obtenir ce que l'on désire est aussi souffrance. »
Et sans développer sa compassion, la souffrance des autres nous est aussi éloignée que possible. Ce qui aide à cela est, entre autres, de comprendre ou du moins de tenter de les comprendre.
Ceci dit, à l'extrême, on n'a pas besoin d'empathie pour tenter de ne pas nuire aux autres voire tendre à les aider... Pourquoi ? Il est aisé de reconnaître la justesse de l'universelle règle d'or de ne pas faire ce qu'on n'aimerait pas qu'on vous fasse, elle oblige, sans affect et sans peur de la punition ou désir de récompense.
Son universalité devrait commander de ne pas applaudir aux invasions étrangères, par exemple.
Bien sûr, on peut avoir de la compassion et de l'admiration pour le Président ukrainien subissant d'injustes humiliations pour son peuple, voire se dire qu'il ressemble à... Churchill laissant les Américains diriger la guerre contre les nazis alors qu'ils la menaient combien héroïquement depuis plus longtemps. Et à... Jésus comme Christ aux outrages.
Mais à quoi bon le penser ou le dire ?
Les gens tirent des rentes de prestige de la Seconde Guerre mondiale quand ils contredisent l'esprit de résistance au nazisme, que ce soit en envahissant l'Ukraine ou en jouant les Munichois ou les adulateurs d'un régime liberticide et sanglant.
Ils peuvent aussi défendre le bilan peu glorieux de leur religion en faisant l'impasse sur ses pourtant omniprésentes ténèbres tandis qu'ils en alourdissent le bilan.
Plus on est lucide et/ou sensible, plus il y a de quoi être triste. Que la source de cela soit l'état du monde ou des problèmes moins existentiels et plus biographiques.
Quoi d'étonnant que le poids de cela puisse paralyser, ou qu'à l'inverse, une sorte d'exaltation contradictoire puisse faire aller dans l'autre sens ?
Bien sûr, chacun peut dire à celui ballotté d'un excès à l'autre de garder l'équilibre, mais si on vit tous dans le même monde, tout le monde n'en est pas également affecté.
Enfin bon, parfois, c'est plus pour encourager qu'autre chose, parfois on peut aussi avoir le tort de parler aux autres avec la rudesse qu'on peut s'infliger pour avancer.
Tout est possible.
On dit en tout cas aux gens de se prendre en charge, comme de se soigner : excuse des patients. Quoi de plus beau que d'être le confident qui ne fera jamais défaut, ne jugera pas, et qui, cerise sur le gâteau pour les meilleurs, sera empathique ? Excuse des psys.
Dans un monde où on prétend qu'on peut toujours mieux faire, comment tourner en dérision qu'on essaie de (se) soigner ?
Bien sûr, il faut que peu à peu, quelques vérités émergent, eh non, le rêve ne sert pas à crypter des vérités cachées et à se faire plaisir comme n'importe qui s'avisant des cauchemars pourrait le soutenir.
Eh oui, il y a des incompréhensions et dogmes médicaux ! Mais dans le public aussi, il n'est pas vrai, par exemple, que quand on veut, on peut. Ce n'est pas parce que cela a l'utilité de mobiliser les troupes et de sonner comme de l'antique que c'est vrai.
Ce qui est vrai, par contre, est qu'on comprend mieux la diversité humaine.
Rédigé par : Lodi | 30 mars 2025 à 03:48
@ Axelle D
"Avant 1980, les troubles bipolaires n'existaient pas et ne figuraient donc pas au programme d'étude des futurs psychiatres, psychologues et compagnie."
Vous savez d'où viennent les médocs pour les maladies mentales ? des tests des drogues de l'armée américaine qui cherchait des moyens de faire tenir les soldats de la Seconde Guerre mondiale et au Vietnam éveillés plus longtemps et qu'ils aient moins peur au combat.
Au début des années 50 et 60, il n'y avait qu'une poignée de médocs pour une dizaine de maladie répertoriées.
Au fil des décennies et de la recherche pharmaceutique, plus "Big Pharma" trouvait de nouvelles molécules plus elle faisait de nouveaux médocs qu'il fallait vendre et comme par hasard, plus on a vu une explosion des pathologies mentales.
Et on est arrivé dans ce siècle à des dizaines de maladies mentales et des centaines de nouveaux médocs. Un nouveau médoc précédant généralement une nouvelle "maladie mentale" répertoriée par le bureau de la "santé US". C'est pratique.
Je me souviens de l'arrivée du Prozac par exemple au début des années 90 que tout le monde médical mais pas seulement vantait comme la "pilule du bonheur" dont les tests avaient prouvé l'efficacité incontestable !
J'en ai pris, prescrit par mon "génie" de médecin de l'époque pendant un moment et j'ai fait deux T.S. (tentatives de suicide).
J'ai arrêté d'en prendre et j'ai appris quelques années plus tard que les tests d'avant autorisation de mise sur le marché aux USA avaient été totalement bidonnés et qu'ils avaient donné des résultats alarmants. Pour résumer, c'était plus dangereux d'en prendre que rien du tout.
Ça ne vous rappelle pas une "pandémie" récente ?
Rédigé par : Vive la France ! | 30 mars 2025 à 00:20
@ Serge HIREL
"Il est devenu du dernier chic chez les bobos d’étaler leurs bobos du cerveau"
Avez-vous remarqué comme le nombre de "vedettes bipolaires" a explosé de façon exponentielle depuis quelques années ? C'est un peu comme les "islamistes tarés donc innocents" (pléonasme), ils sont partout !
C'est là où l'on voit l'escroquerie de psys complaisants parisiens qui se font des cacahuètes en or massives, pour rester poli, parce que quand on passe sa vie à se défoncer comme toutes ces vedettes "merdiatiques" avec tout ce qu'on trouve et tous les jours et surtout les soirs alors c'est sûr, pendant un moment on plane totalement et on se croit au paradis et que ça ne s'arrêtera jamais donc on ne dort plus étouétou, et on recommence, mais il y a toujours un moment où le psychisme et donc le corps disent stop ! Stop ! Stop ! Et là c'est le plongeon total dans la redescente et dire qu'elle est douloureuse est le pire des euphémisme.
Et donc, qu'est-ce qu'elles font les "idoles" si fières d'elles et si fortes dans les "merdias" d'habitude ? Qui se prennent tous les jours pour des parangons de l'intelligence, de la morale et du génie réunis ?
Elles courent toutes chialer comme les pires des lopettes chez leur psy favori payé à prix d'or qui leur fera sans scrupule un certificat en peau de lapin de "Bipolaire" vu que ça ne veut rien dire.
Et que je vais ensuite me déverser chez mes confrères complaisants "merdiateurs" qui sont de toute façon dans le même cas que moi et me faire écrire un bouquin pour me faire plaindre parce que je suis bien incapable le le faire moi-même vu l'état dans lequel je suis et hop ! tout le monde "s'entraide" ! Une vraie mafia ! "Oh le pauvre bipolaire ! Quel courage d'avouer sa maladie !" etc.
Ce sont tous les mêmes les "Demeurés", Cantat, Palmade et compagnie.
Ils savent tous très bien ce qu'il font ! La preuve, c'est qu'ils adorent les racailles de banlieue qui les fournissent et ne veulent pas risquer de trafiquer eux-mêmes parce qu'ils savent que consommer ils ne risquent rien et ça fait rebelle dans le "milieu" médiatique mais trafiquer, c'est autre chose.
Ils financent les morts du trafic de came en se faisant passer pour de grands moralisateurs... Ils sont à vomir.
Rédigé par : Vive la France ! | 29 mars 2025 à 23:31
Pour départager les médecins du blog, il paraît que la seule différence entre la dépression et la bipolarité est le montant de la pension à laquelle on a droit.
Au même titre que la différence entre le virus de la grippe et celui du covid est le montant du prix du vaccin.
J'ai assisté hier soir à une conférence avec comme intervenant Jean-Dominique Michel, "anthropologue de la santé". Très intéressant. Beaucoup de monde.
https://www.heidi.news/sante/que-penser-des-interventions-de-jean-dominique-michel-sur-l-epidemie
Rédigé par : hameau dans les nuages | 29 mars 2025 à 23:30
Avant 1980, les troubles bipolaires n'existaient pas et ne figuraient donc pas au programme d'étude des futurs psychiatres, psychologues et compagnie. Si bien que pour nombre d'entre nous, nés trente ou quarante ans plus tôt qu'à l'époque où cette révélation venue des États-Unis fut faite, il est difficile de commenter en toute bonne foi et connaissance de cause concernant cette pseudo-"maladie psychique" sans se rendre totalement ridicule ou attester d'une mentalité de menteur ou de vantard patenté.
Rédigé par : Axelle D | 29 mars 2025 à 22:59
@ Vive la France ! (@ Claude Luçon)
"La bipolarité(...) C'est une vraie maladie génétique" (CL)
"Source, s'il vous plaît ?"
"Le trouble bipolaire est considéré comme une maladie multifactorielle, avec une composante génétique significative. Les études sur les familles et les jumeaux montrent que les personnes ayant un parent au premier degré atteint de trouble bipolaire ont un risque plus élevé de développer cette maladie. L'héritabilité est estimée entre 60 et 85 %, ce qui indique une forte influence des facteurs génétiques. Cependant, il n'existe pas un seul gène responsable, mais probablement plusieurs gènes associés à une faible augmentation du risque.
Des recherches récentes ont également identifié des variantes rares de perte de fonction dans certains gènes, comme HECTD2 et AKAP11, qui pourraient être liées au trouble bipolaire. Ces découvertes offrent des perspectives pour mieux comprendre la biologie sous-jacente de la maladie et développer des traitements plus efficaces.
En plus des facteurs génétiques, des éléments environnementaux tels que le stress, les traumatismes, et les perturbations du sommeil jouent également un rôle dans le déclenchement des épisodes bipolaires." (IA)
Je n'ose pas approfondir, on y passerait la nuit, un peu comme le cycle de Beau de Rochas mais là je suis plus compétent et la tartine serait épaisse.
"Elle ne relève pas d'échanges de salon mais est susceptible de briser une vie. À perpétuité." (PB)
Si vous saviez... Perpète c'est bien le mot. Découverte, mais mieux vaut tard que jamais dit-on.
"qu'il n'est pas de déséquilibre personnel qu'on ne puisse surmonter ou au moins intégrer à un dispositif psychologique plus vaste qui l'exploiterait pour le meilleur." (PB)
C'est beau comme l'antique mais c'est faux.
Le neuropsychiatre David Servan-Schreiber avait "incendié" la réflexion d'un médecin, je m'en souviens encore, qui jugeait qu'avec un bon "gueuleton" on pouvait se sortir de ces maladies mal connues à l'époque.
C'est un séisme pour la personne concernée et pour l'entourage aussi. Épreuve terrible.
Rédigé par : Giuseppe | 29 mars 2025 à 21:11
Bipolaire, la Terre l’est aussi... et pourtant elle tourne... sans être le centre de l’Univers. Le bobo, lui, parce qu’il veut l’être et n’y parvient pas, prend ses sautes d’humeur provoquées par ce drame absolu pour une maladie mentale, alors qu’elles ne sont que la conséquence d’un moi cabossé par la réalité.
Il est devenu du dernier chic chez les bobos d’étaler leurs bobos du cerveau. Leurs « psy » - comme la Rolex, ils sont indispensables à leur identité - semblent s’être donné le mot pour leur prescrire un même remède : l’aveu par l’écriture. Soit, mais nul n’est tenu de voler à leur secours en perdant quelques heures - et quelques sous - pour leur donner l’impression d’être plaints.
Chez BHL, Demorand et quelques autres qui, dit-on, s’apprêteraient à exploiter le filon de la confession intime, on est loin, très loin de la retenue avec laquelle Camille Kouchner a dénoncé par la plume les crimes de son beau-père... On est loin, très loin, à des années-lumière, de la dignité et du courage de Gisèle Pélicot... On donne plutôt dans le roman de gare qu’on oubliera sur son siège à la fin du voyage...
Pour ma part, mon côté « psy » - tout le monde, aujourd’hui, en possède un - m’incite à conseiller à ND de mettre fin illico à son concubinage médiatique avec Léa Salamé... Un gars qui se sait à l’ouest ne peut pas sans risque fréquenter quotidiennement une fille du Levant...
Rédigé par : Serge HIREL | 29 mars 2025 à 21:00
@ Vive la France ! | 29 mars 2025 à 19:07
Aucun rapport avec la physique nucléaire. Je dis simplement qu’une personne qui a reçu un enseignement littéraire de haut niveau connaît la signification des mots et donc les utilise à bon escient. Rien de plus.
Maintenant, si vous n’avez toujours pas compris, je ne me hasarderai pas à un essai de plus, vu que manifestement cela semble sans espoir ! :)
Rédigé par : Achille | 29 mars 2025 à 20:54
@ Achille
Vous êtes sérieux ou c'est du second degré ?!
Comme si le fait d'être diplômé d'un doctorat en physique nucléaire de la grande école internationale de Pétaouchnock faisait de vous un être omniscient et donc imperméable à l'escroquerie intellectuelle... Réfléchissez encore.
"Try again" comme disait le flipper dans ma jeunesse quand on avait perdu.
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@ Claude Luçon
"La bipolarité(...) C'est une vraie maladie génétique"
Source, s'il vous plaît ?
Rédigé par : Vive la France ! | 29 mars 2025 à 19:07
La bipolarité, plus justement appelée aux USA "manic-depressive" est une transformation soudaine de la personnalité, qui passe de l'amabilité à la pire méchanceté verbale, parfois la violence. C'est un changement de personnalité.
Il existe des neuro-psychiatres spécialisés et un traitement spécial.
C'est une vraie maladie génétique.
Rédigé par : Claude Luçon | 29 mars 2025 à 17:29
@ Vive la France ! | 29 mars 2025 à 12:35
« …et je peux affirmer que si effectivement jamais personne ne s'est douté dans son milieu professionnel qu'il avait un problème c'est que son problème n'est pas de la bipolarité… »
Si j’en crois sa biographie, Nicolas Demorand est quand même lauréat du concours général de français et ancien élève de l'École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud. Ce qui signifie qu’il connaît le sens des mots et s’il parle de bipolarité le concernant, c’est qu’il souffre effectivement de ce mal.
Rédigé par : Achille | 29 mars 2025 à 17:04
"Jamais personne n'a pu soupçonner, dans sa pratique professionnelle, que Nicolas Demorand était atteint de la sorte." (PB)
Je n'ai pas lu son livre et ne le ferai pas mais je connais un peu (euphémisme) les problèmes psychologiques et depuis très longtemps ; et je peux affirmer que si effectivement jamais personne ne s'est douté dans son milieu professionnel qu'il avait un problème c'est que son problème n'est pas de la bipolarité, anciennement appelée maniaco-dépression, parce que dans les phases "maniaques", au sens psychologique du terme et pas criminel si on peut dire, le malade peut perdre totalement le contrôle de lui-même et peut parfois se retrouver par exemple à poil dans la rue sans en être conscient.
D'autre part, dans les phases dites "dépressives", le sentiment de ne rien pouvoir faire de soi-même est tellement puissant qu'il empêche quiconque de pouvoir même se lever le matin pour faire quoi que ce soit et effectivement prendre une douche donc aller travailler comme si de rien était... Soyons sérieux.
Donc si ND était vraiment bipolaire, il lui aurait été incapable de le cacher et ça n'aurait certainement pas été pris pour de la dépression qui ne fait jamais perdre conscience de lui-même au malade.
Je ne doute pas qu'il ait des problèmes dépressifs plus ou moins graves mais je doute sérieusement qu'il soit bipolaire.
Le problème avec le terme "bipolaire" est que comme pour "borderline" par exemple ou "HPI", ou "TDAH", pour les gamins mal élevés un peu trop excités parce qu'on les laisse faire n'importe quoi, c'est un terme fourre-tout inventé par "la psy" qui a besoin de faire croire que c'est une science donc qu'elle sait de quoi elle parle alors que ça n'en est pas une.
Rédigé par : Vive la France ! | 29 mars 2025 à 12:35
D’abord, qu’est-ce que la santé mentale ?
Peut-être des hommes d’une autre époque ou d’un autre lieu diraient que nous sommes devenus complètement fous à lier. Pourquoi auraient-ils torts et nous raison ? Les choses ne vont pas de soi et ne sont pas évidentes. Nietzsche a écrit de grandes choses sur ce thème même si, semble-t-il, cela ne lui a pas trop réussi, à moins que l’aphasie soit l’ultime refuge du sage vivant parmi les fous.
Il y en a d’autres qui, pour la recouvrer, s’en sont allés du côté de la mer Égée pour y respirer un air plus pur. Toujours est-il qu’au-dessus de Paris, de Bruxelles, Francfort, Londres, ou Saint-Basile au Septentrion, risque-t-on depuis quelques années plutôt que d’être exposé à un nuage surchargé de particules de carbone de l’être à une brume d’insanité qui s’est répandue partout comme une lèpre au-dessus des villes.
Rédigé par : Jean sans terre | 29 mars 2025 à 12:17
« Mon infinie bêtise de bien-portant... » (PB)
Non ! Non ! Et non !
Je ne peux pas vous laissez écrire ça !!!
Pourquoi, allez-vous m'opposer ? Mais parce qu'il arrive un moment où vous devez résister et mettre un terme aux égotismes effrénés des uns et des autres.
Comme je n'ai pas beaucoup de temps, je suppose que par le moyen d'un dictionnaire en cours de rédaction qui s'appellerait : Le Dictionnaire des idées neuves pour un certain temps... je pourrais me faire plus ou moins comprendre !
(Message à destination de M. Charoulet : je n'ai pas le temps donc les propositions viendront à la mords-moi-l’œil, ce qui ne veut pas dire que je ne connais pas mon alphabet !)
Depuis l'an de grâce 2019 dont le signe astral est une couronne toxique, les humains sont devenus des buccinateurs, ce qui est parfaitement fâcheux et a conduit votre servante, la dénommée duvent, à mettre les points sur les i...
AVERTISSEMENT : JE ME TAMPONNE LE COQUILLARD DES NUITS DES AUTRES QUAND ELLES NE SONT PAS ATTIQUES !
Obèse : désigne un ou une cochonne qui ne respecte pas la nature et dont les dérives alimentaires nuisent à lui-même (ou elle-même).
Bipolaire : désigne un ou une égotiste dont l'activité principale consiste à ne penser qu'à soi et dans le même temps à convaincre les autres d'une grande souffrance.
Psy... quelque chose : un individu manipulateur, profiteur, dont le fonds de commerce est la débilité égotiste.
Cool : terme issu d'une langue très pauvre, lequel désigne un ou une éducatrice qui se soucie comme d'une guigne de l'être en construction.
Fibromyalgie : désigne une maladie dont souffre la grosse feignasse qui connaît bien le système pervers que l'administration encore plus perverse met à disposition pour que le poids qui fait mal au dos soit déposé sur un autre dos que le sien.
Administration : un système dont le principe repose sur l'absurdité, la paresse, la mauvaise foi et la sottise. ATTENTION, ce système est efficace uniquement pour broyer l'honnête homme, ne jamais, jamais s'y frotter !
Justice : une idée très sympa, jamais juste !
Éducation : une hypothèse oubliée depuis 1968.
Liberté : une extrapolation qui peut être excessivement dangereuse.
Fraternité : un besoin facilement comblé par la trahison et le remplissage de ventre.
Égalité : une fantaisie qui repose sur un rêve qui tourne immanquablement au cauchemar.
Force : une compétence physique qui a été remplacée par la fibromyalgie ou une compétence mentale qui a été remplacée par le réseau (toxine sans remède pour l'instant...).
Réputation : un truc à quoi on tenait il y a longtemps.
Nom de famille : un truc qu'on laisse traîner n'importe où...
Je n'ai plus le temps, je n'ai plus le temps, je n'ai plus le temps...
TO BE CONTINUED !
Rédigé par : duvent | 29 mars 2025 à 11:32
Je ne connais pas cette personne ni sa vie. Je rajouterais au titre de son livre que la nuit nuit. Je veux dire la vie parisienne avec chamboulement des activités diurnes et nocturnes perturbant totalement l'horloge biologique. Nous ne sommes ni chouettes ni rats. Ajoutez-y toutes sortes de substances pour tenir le coup et paraître pendant ces nuits parisiennes... Il va falloir redescendre sur terre et couper les liens avec ces nids de frelons. Décidément France Inter (mais sans aucun doute d'autres) est une fabrique à bipolaires. Je lui propose humblement de faire le chemin de Compostelle et d'abandonner le paraître.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 29 mars 2025 à 10:43
@ Tipaza | 29 mars 2025 à 08:24
« L'exhibitionnisme a des limites, quand bien même il serait la condition de leur survie médiatique. »
Bien des personnalités connues du grand public sont de grands tourmentés.
ND et BHL ne sont pas des exceptions. Je pense que c’est encore dans le milieu politique que l’on peut trouver ce genre de cas aussi bien à droite qu’à gauche.
En ce qui me concerne j’aime bien cette chanson qui donne idée assez effrayante des nuits de ces malheureux.
Très belle chanson au demeurant (sans jeu de mots...) :)
Rédigé par : Achille | 29 mars 2025 à 10:30
« …mon infinie bêtise de bien-portant » (PB)
Cher monsieur Bilger, cette réflexion posée avec humilité et humanité est la preuve d'une grande intelligence de votre part.
Nous apprécierions que tous ceux qui détiennent une parcelle de pouvoir en France se comportent de même.
Rédigé par : Exilé | 29 mars 2025 à 09:16
« Le plus beau cadeau à offrir à ND sera paradoxalement de continuer à l'écouter comme avant. » (PB)
Allons bon, Philippe Bilger qui fait de la pub pour Nicolas Demorand qui anime la matinale de France Inter. Il s'agit juste du rival de Pascal Praud qui ne manque jamais une occasion de l’égratigner.
On rêve ! 😊
Rédigé par : Achille | 29 mars 2025 à 08:46