Le Point est un hebdomadaire que j'aime lire et que j'apprécie beaucoup malgré sa double obsession : dire du bien de Nicolas Sarkozy et célébrer les avocats. À part cela qui est supportable, il y a surtout l'éditorial de Franz-Olivier Giesbert, à la fois fulgurant et primesautier, le bloc-notes de BHL ainsi que les dossiers spéciaux souvent passionnants consacrés à des thèmes dominants.
Par exemple celui qui traite "du pouvoir des femmes".
Je me souviens d'Odile Dhavernas, avocate, brillante féministe, qui avait écrit il y a longtemps un livre qui avait fait beaucoup de bruit dans le milieu intellectuel : "Droits des femmes, pouvoir des hommes". Son titre dénonçait, derrière les droits qui leur étaient concédés, la vraie faiblesse des femmes - au sens classique du pouvoir : une fois l'apparence dépassée, l'hégémonie virile n'avait guère été entamée.
Il me semble qu'aujourd'hui nous n'en sommes plus là et qu'au moins sur le plan théorique, le débat ne porte plus sur l'égalité des droits. Même plus sur le pouvoir qui est de plus en plus partagé malgré des zones d'effacement féminin et des pratiques personnelles, familiales et sociales pas encore à la hauteur du progressisme souhaité.
Tout de même je suis inquiet quand les femmes cherchent à rivaliser avec le monde viril, dans la lumière et dans l'affirmation de soi, par une sorte de mimétisme à instaurer entre femmes et hommes de pouvoir. Comme si la similitude était obligatoire et le comportement des hommes à prendre pour modèle.
Sans doute suis-je d'autant plus sensible à cette question que je n'ai jamais tourné en dérision le point de vue de Sandrine Rousseau sur "l'homme déconstruit". Même si j'ai toujours été incapable, grâce à l'adorable complaisance de mon épouse et à ma propre incompétence pas seulement fabriquée, de partager les tâches domestiques - les aimables diront que c'est une affaire de génération ! -, en revanche je n'ai jamais été épris de l'image de la virilité traditionnelle telle que le commun des citoyens l'appréhende.
De sorte que, dans cette revendication du pouvoir des femmes, je nourris l'angoisse que, par facilité et paresse, les femmes de pouvoir n'aient pas d'autres ambitions que de se camper, fières d'elles, dans la lignée de celui des hommes. Ainsi, autant j'approuve Laura Chaubard, à la tête de l'École polytechnique, qui demande qu'on "cesse de parler de Marie Curie" pour privilégier les modèles d'aujourd'hui, autant je frémis à l'idée de Nathalie Collin, directrice d'une branche importante de La Poste, qui invite "à apprendre à agir comme les hommes".
Dans mon expérience même relative des lieux et des métiers de pouvoir, je pense absolument l'inverse. Même s'il est incontestable qu'un socle commun existe, je persiste à considérer pourtant qu'une manière totalement féminine, voire délibérément féministe, d'exercer le pouvoir est possible et d'ailleurs souvent effective.
Il suffit d'observer, sur les plateaux médiatiques, l'aptitude au dialogue tranquille de la plupart des femmes quand l'autre sexe bataille volontiers. Il y a des vertus qui dans les conduites professionnelles n'appartiennent qu'aux femmes ou alors à des hommes tellement conscients de leur part de féminité qu'ils empruntent des chemins moins conventionnels dans leur pratique de direction.
Rien ne serait pire pour la cause des femmes que d'aspirer, où que ce soit et à tous niveaux, à devenir seulement la copie conforme des hommes dans leur définition banale ou, plus singulièrement, des hommes de pouvoir, des hommes qui ont réussi.
Les femmes sont trop importantes et précieuses pour ne se vouloir que les habitantes d'un territoire indivis. Elles ont droit véritablement à leur indépendance et à leur autonomie. Dans une distance sereine d'avec les hommes, pas dans une guerre des sexes de chaque seconde.
Dans MeeTooMuch ? que je viens de publier chez Héliopoles, j'ai adressé ma dédicace "à toutes les résistantes".
Je ne suis pas très éloigné de Valérie Toranian qui en synthétisant ce dossier spécial dit que "le pouvoir des femmes, c'est aussi celui de faire changer les choses".
Voilà une incitation qui a le mérite de valoir pour les deux sexes !
@ Jean sans terre
Auriez-vous des fuites de mémoire ? Votre commentaire initial d'hier se rapportait pourtant bien à Jésus :
"Et à la parousie, est-ce que Jésus aura des seins ?" (Jean sans terre 9 mars 20:27)
Rédigé par : Axelle D | 10 mars 2025 à 21:02
@ Axelle D
Votre séjour aux États-Unis d’Amérique vous a, semble-t-il, fortement impressionnée. Ma remarque ne se rapportait pas à Jésus mais outrait votre propos pour en faire rejaillir l’influence spirituelle subjacente, protestante et américaine.
Rédigé par : Jean sans terre | 10 mars 2025 à 20:17
@ Jean sans terre
À votre réflexion initiale pas très fine sur Jésus, qui se voulait sans doute humoristique mais dénotait en outre une évidente ignorance du corps humain, j'avais répondu que les hommes eux aussi avaient des seins, mais non développés, ce que quelques cours élémentaires d'anatomie, sans aller jusqu'à faire médecine, auraient dû vous apprendre.
Et vous de ne trouver rien de mieux comme répartie que de détourner le commentaire en parlant d'androgynie et de wokisme, et autres anomalies, déviations ou effets de modes décadentes, ce qui n'a vraiment, mais vraiment rien à voir.
Rédigé par : Axelle D | 10 mars 2025 à 15:48
@ Axelle D | 10 mars 2025 à 01:27
Ce que Dieu n’est pas parvenu à rendre parfait, l’homme y réussira. Qui l’androgyne aimera ? Toujours cherchant dans l’autre le reflet de lui-même et ne le trouvant jamais, il ne sera plus capable d’aimer.
S’écartant de l’obédience catholique, les mythes et les hérésies du passé ressuscitent. Un nouveau vocable rassemble cette résurgence de tendances antiques. On l’appelle aujourd’hui wokisme. Il n’est pas étonnant qu’il métastase dans les peuples protestants, athées ou agnostiques disposés à se persuader que tout ce qui leur traverse l’esprit est une création pure de leur génie et que puisqu'il sourd de leur raison démiurgique, nécessairement il ne pourrait qu’être bon.
En ce temps de carême, il est utile au chrétien de se ressouvenir que le Dieu fait homme, durant son ascèse dans le désert, résista à toutes les tentations qui auraient offensés son Père, la plus grande entre toutes, peut-être, étant de se prendre pour Lui et de vouloir corriger les défauts qu’il suppose à la création.
Rédigé par : Jean sans terre | 10 mars 2025 à 13:46
@ Jean sans terre
"Et à la parousie, est-ce que Jésus aura des seins ?"
Évidemment comme tout homme, c'est-à-dire un tissu et des glandes mammaires avec tétons, mais non développés, comme chez les femmes, sauf anomalie (gynécomastie).
Rédigé par : Axelle D | 10 mars 2025 à 01:27
@ Axelle D | 08 mars 2025 à 13:03
« Pardonnez-moi à votre tour mais je n'imagine pas Dieu en mauvais copiste ou contrefacteur de Ses Propres Oeuvres.
Pour mieux comprendre (à défaut d'avoir un mental d'artiste), vous devriez commencer par réviser l'ordre de la Création et donc relire la Bible (Genèse 1,27) »
Et à la parousie, est-ce que Jésus aura des seins ?
Rédigé par : Jean sans terre | 09 mars 2025 à 20:27
@ Michel Deluré | 08 mars 2025 à 18:53
Figurez-vous que j'avais parfaitement compris le sens de votre remarque réagissant en retour à mon propre trait humoristique et que toute personne non sectaire et dotée d'un bon esprit est à même de saisir. Et si j'ai néanmoins jugé utile de le faire suivre après-coup de quelques précisions, c'est que votre réaction me semblait de nature à induire en erreur certains intervenants (ou lecteurs) de ce blog ne comprenant pas forcément ce genre de dérision au second ou troisième degré et les leçons qu'ils pouvaient en tirer.
Rédigé par : Axelle D | 09 mars 2025 à 15:53
Divers mythes sont rabaissants pour la femme : Pandore créé pour être source de malheur de l'homme, Ève non faite à cet effet, mais extraite de l'homme, comme on pourra sans doute le faire un jour des clones, et poussant l'homme à manger un fruit, crime capital qui on s'en doute, méritait la perte du paradis.
D'autres mythes sont moins déraisonnables, ainsi chez les nordiques des dieux créant l'homme et la femme à partir l'un d'un arbre, l'autre de l'autre, et ce pour habiter un espace créé pour eux dont ils ne sont pas expulsés.
Bon, cet endroit, le nôtre, n'a rien de bien enthousiasmant, monde de souffrance et de mort, mais on n'est pas supposé passer d'un état merveilleux à un mauvais en en accusant non le dieu à l'origine de la situation mais les humains, et forcément, surtout la femme, car en cas de problème, n'est-il pas dans la nature humaine de s'en prendre aux plus faibles ?
Or on a beau dire que la femme est forte, elle est faible car en moyenne plus faible que l'homme et encore affaiblie quand enceinte d'avoir besoin de l'aide d'un homme voire de toute la communauté qui le fera payer.
Donc la femme a moins tendance a être au pouvoir, et comme si cela ne suffisait pas, les mythes polythéistes et surtout monothéistes sont défavorables à sa cause.
Eh oui, un seul dieu signifie un seul dieu masculin vu qu'en cas de rareté le plus fort, en l’occurrence l'homme, se sert d'abord et plus que les autres. Si le divin est masculin, un père unique dirigeant tout, il en découle que l'homme soit favorisé, surtout le père, et que se crée un désavantage au détriment de la femme et de la mère. Cette dernière porte l'enfant, et comme un esclave, ne peut se décharger d'un poids assigné à sa guise : idéalement, où domine l'homme, l'avortement est interdit, tandis que le père, voyant l'enfant peut l'exposer ce qui signifie le tuer ou pire, l'abandonner à toute personne pouvant l'asservir à sa guise.
Le monothéisme rabaisse prodigieusement les femmes : un seul dieu masculin, la faute de l'expulsion du paradis imputé à sa faiblesse.
Cela sert à merveille la domination masculine, à laquelle tant de femmes souscrivent, par exemple en se vantant sottement de tirer les ficelles par-derrière. En somme, comme un esclave délégué par le maître ou prenant des initiatives dans les marges d'un pouvoir qu'il dédaigne d'utiliser, elles se proclament contentes de se jeter sur des reliefs de pouvoir : ce qui serait comique ? Que les mêmes aillent d’aventure critiquer des gens auxquels de plus riches s'amuseraient à jeter des reliefs de repas en échange de la reconnaissance de leur infériorité.
Conservatisme de ces femmes : elles ont un pouvoir certes sans rien de bien digne dans leur situation, mais qui sait si dans une autre configuration, elles auraient trouvé un homme et si ce dernier leur avait abandonné du pouvoir ? Autre chose : elles ont le pouvoir de, par exemple, en exercer sur d'autres femmes, type autrefois la belle-mère sur la femme du fils... De plus, en groupe, des femmes peuvent défendre le statu quo et faire qu'ainsi l'avortement soit interdit. En piégeant d'autres femmes par leur ventre de connivence avec des hommes, elles font partie des dominantes.
La préservation voire la défense du monothéisme est idéal pour maintenir sa position pour les hommes et les femmes leur servant de force d'appoint. Car la rareté, désolé, est encore pire dans le cas de la religion que dans le reste. La trop grande abondance peut créer des problèmes, certes, par exemple dans la monnaie... Mais il n'y a jamais trop de dieux pour équilibrer mutuellement leur puissance et pour assurer à chacun quelque dieu favorable. Tandis qu'avec un seul dieu, la femme est toujours indigne de la prêtrise, soit une grande régression face au polythéisme. De sorte que symboliquement, elle est prodigieusement inférieure.
En politique, qui est hélas liée au sacré comme cul et chemise, la femme part donc avec un désavantage énorme.
Et donc, que fait un nouvel entrant sur un espace qui le délégitime par nature ? Soit il consent toutes sortes de concessions, atteint du syndrome de l'imposteur. Or les gens sentent les faiblesses des autres comme le prédateur, le sang, et la femme sera attaquée.
Je veux dire plus qu'un homme.
Ou bien, compensant, la femme attaque, et le sera car on ne voit pas pourquoi quiconque accepterait de l'être pour aider une dominée à devenir dominante. Le monde n'est pas fait de puching-balls bénévoles.
Difficile, vraiment, d'être entre les deux. Plus on subit, plus le juste milieu vous fuit.
Notons à l'inverse que plus on est dominant, plus le juste milieu vous fuit, on a tendance à aller vers la démesure, comme Trump.
Tout cela n'est pas digne de véritables hommes ou femmes de pouvoir... Plus que le vin, le pouvoir réclame la vertu de tempérance.
Il y a un savoir-gouverner comme un savoir-boire ou un savoir-vivre... On peut discuter de ses modalités, mais il s'agit en somme de savoir se maîtriser et de ne pas nuire aux autres.
Mais l'art est difficile...
Quant à la science, n'en parlons pas. L'homme et la femme sont des animaux à la culture fort développée mais pas toujours la culture scientifique ! Les mythes qui se flattaient d'expliquer le monde perdurent, moins hélas pour le plaisir de l'imaginaire que pour assigner des innocents à une position humiliée comme on peut le voir des femmes mais pas seulement.
On dit toujours que les rats quittent le navire, stigmatisant que des gens fuient quand il serait de leur devoir de rester alors que les choses vont mal... Cependant, je ne vois aucun sens pour les femmes de rester dans des institutions les opprimant. Je veux bien qu'aux époques où il était presque inconcevable de créer sa religion, et encore pire de vivre sans, elles soient restées piégées.
Mais ce n'est plus le cas.
En partant, elles font comme les gens fuyant le monde soviétique, elles assurent leur liberté tout en ébranlant le système d'oppression.
Double effet positif : faire ce qu'on se doit à soi-même tout en aidant les autres.
Et attention, ceci est un vrai bien, je veux dire non fait pour obtenir quelque récompense : l'action raisonnable et vertueuse accomplie l'est pour elle-même, et non pour éviter la douleur ou avoir droit à quelque récompense, comme avec Pavlov.
Je veux dire quérir l'assentiment des voisins ou candidater dans un paradis d'autant plus délectable qu'il y aura un enfer pour le cher prochain et que les deux font système, et n'iraient pas l'un sans l'autre.
Comme le chauffage venu du sol ?
Rédigé par : Lodi | 09 mars 2025 à 04:06
Rappelons que Valérie Toranian est, à la ville, Madame Giesbert.
Rédigé par : Merville | 08 mars 2025 à 22:17
Une expérience passée en Chine a démontré que si l’on attache une carte American Express sur le sexe masculin, l’orgasme féminin est atteint trois fois plus vite...
Mao sait tout...
Rédigé par : sylvain | 08 mars 2025 à 21:33
@ Axelle D 08/03/25 13:03
Il ne vous a pas échappé que mon commentaire n'avait d'autre prétention que d'être un modeste trait d'humour. J'ai bien trop de respect pour le sexe féminin pour ne pas me permettre de l'inférioriser par rapport au sexe masculin, quel qu'en soit son créateur. Condition même de leur survie, ils sont indispensables l'un à l'autre et constituent donc les deux parties indissociables d'un même tout.
Rédigé par : Michel Deluré | 08 mars 2025 à 18:53
@ Patrice Charoulet | 08 mars 2025 à 14:14
« Je n'ai aucun avis sur les femmes en général, les magistrats en général, les avocats en général, les professeurs en général, les journalistes en général, les élites (= les meilleurs) en général, les étrangers en général... »
C'est votre droit le plus strict, mais alors pourquoi donnez-vous épisodiquement votre avis sur l'extrême droite ou prétendue telle en général ?
Rédigé par : Exilé | 08 mars 2025 à 17:18
« Pouvoir des femmes, femmes de pouvoir ? » (PB)
En dépassant cet aspect du pouvoir, il semblerait plutôt que la société actuelle ait tendance à virer dans l'ensemble à une société plus gouvernée par l'émotion (interprétée à tort ou à raison comme une conséquence de sa féminisation) que par l'analyse froide des faits, qui serait plutôt caractéristique d'une démarche masculine.
En pratique comment ne pas constater par exemple que dans le domaine médiatique l'information ou présumée telle vise à nous faire surréagir sur des sujets traitant de la géopolitique uniquement sous un angle émotionnel, en activant notre cerveau reptilien, en occultant les raisons objectives, basées sur des réalités historiques, économiques, politiques etc. qui ont conduit à telle ou telle situation de crise ?
Rédigé par : Exilé | 08 mars 2025 à 15:23
Je n'ai aucun avis sur les femmes en général, les magistrats en général, les avocats en général, les professeurs en général, les journalistes en général, les élites (= les meilleurs) en général, les étrangers en général...
On ne peut avoir d'avis que sur une personne à la fois, quand on la connaît bien et depuis longtemps. Il arrive même, au fil du temps, qu'on puisse changer d'avis : on croyait bien connaître quelqu'un, mais non...
Rédigé par : Patrice Charoulet | 08 mars 2025 à 14:14
@ Michel Deluré
Pardonnez-moi à votre tour mais je n'imagine pas Dieu en mauvais copiste ou contrefacteur de Ses Propres Oeuvres.
Pour mieux comprendre (à défaut d'avoir un mental d'artiste), vous devriez commencer par réviser l'ordre de la Création et donc relire la Bible (Genèse 1,27) d'où il ressort qu'homme et femme furent créés ensemble, étant à la fois différents et complémentaires.
Rédigé par : Axelle D | 08 mars 2025 à 13:03
Dans ma vie professionnelle et familiale, j'ai pu constater que le matriarcat et la méchanceté de la gent féminine n'avaient rien à envier au patriarcat et à la grossièreté de la gent masculine...
Et l'attitude des dames Rousseau et Tondelier ne me fera pas changer d'avis !
La femme est l'égale de l'homme, y compris dans ses turpitudes.
Rédigé par : caroff | 08 mars 2025 à 12:23
La féministe parfaite : Rima Hassan qui avec ses propos haineux violents proterroristes LFI-Hamas, est devenue le meilleur agent recruteur du RN.
Plutôt que l'interdire, il vaut mieux la laisser vomir ses propos racistes antijuifs qui rapportent beaucoup de voix au RN.
Le RN qui en retour, remercie cette terroriste extrémiste islamo facho gauchiste.
À quand une journée des coups de couteau de ses amis islamistes ?
Rédigé par : sylvain | 08 mars 2025 à 11:47
J'adore les féministes qui vocifèrent dans les rues : "Les hommes sont lâches, égoïstes, immatures, etc. etc."
"La femme est égale de l'homme gna gna gna"...
Surtout ne perdez pas votre temps à chercher l'erreur, c'est très féminin, QI de bigorneau, ou bigornette si you prifeur, bulot ou bulotte.
Moi je décréterai que les femmes sont les égales de l'homme quand elles arrêteront d'appeler les mecs pour changer la roue crevée de la voiture. Ce jour-là elles auront franchi un grand pas.
La femme à un cerveau de gauche : toujours assistées et victimes, elles radotent les slogans féministes purs et durs envers le mâle honni quand elles sont bien au chaud et à l'abri mais dès qu'elles sont devant des difficultés, les mêmes réendossent leurs habits de victimes et envoient les hommes au charbon, bien contentes de faire partie à nouveau du sexe faible.
Mais surtout ne changeons pas des équipes de conner*e qui gagnent.
Ce n'est pas la féminisation de la société à laquelle on assiste mais plutôt à l'hyperconnisation de la femme.
Rédigé par : sylvain | 08 mars 2025 à 10:42
@ Axelle D 07/03/25 23:09
Pardonnez-moi de corriger votre version, mais la vérité est en fait que, plus que satisfait de sa création qu'il jugeait irréprochable, Dieu désira, par mesure de sécurité et sur les conseils de Google, de la sauvegarder. Il se remit alors à l'ouvrage pour en réaliser une copie mais celle-ci ne fut malheureusement pas conforme à l'original, comme cela arrive parfois à tout artiste, et présenta quelques imperfections. Même Dieu, que voulez-vous, est faillible !
Rédigé par : Michel Deluré | 08 mars 2025 à 10:36
@ Axelle D | 07 mars 2025 à 23:09
« Selon toute logique ce serait plutôt l'inverse, car on n'imagine pas Dieu créant la femme (soit l'oeuvre accomplie) après son ébauche, c'est-à-dire l'homme, autrement dit le brouillon, le projet ou l'esquisse. »
Bien entendu, les voies du Seigneur sont impénétrables et notre sens de la logique est loin d'être parfait.
Et puis, qui sommes-nous pour juger ?
Rédigé par : Exilé | 08 mars 2025 à 10:08
Il semble qu'homme et femme naissent tous du corps de la deuxième, ce qui explique sans doute que le premier n'ait d'autre dessein que d'y retourner.
Mesdames, soyez bénies !
"Pour que règne l'amour, jusqu'à la fin des jours"
https://www.youtube.com/watch?v=hu9HWb0408Y
Rédigé par : Aliocha | 08 mars 2025 à 09:35
En couple avec une femme d’affaires, l’homme paie 60 % des factures de la société de services qui envoie une femme de ménage chaque semaine. Selon la loi matriarcale, c’est 60-40 parce que la femme est l’intermédiaire du couple avec la société de ménage.
Rédigé par : Vamonos | 08 mars 2025 à 04:24
@ Exilé | 07 mars 2025 à 20:06
Selon toute logique ce serait plutôt l'inverse, car on n'imagine pas Dieu créant la femme (soit l'oeuvre accomplie) après son ébauche, c'est-à-dire l'homme, autrement dit le brouillon, le projet ou l'esquisse.
Rédigé par : Axelle D | 07 mars 2025 à 23:09
« Si vous désirez que quelque chose soit dit, demandez-le à un homme, si vous désirez que quelque chose soit fait, demandez-le à une femme. » (Margaret Thatcher)
Rédigé par : Exilé | 07 mars 2025 à 21:57
Et Dieu créa la femme.
Sa seule erreur, ou pour mettre en évidence par contraste la quasi-perfection de l'homme ?
(Qu'on me pardonne si mon exégèse des textes bibliques ne semble pas très orthodoxe...)
Rédigé par : Exilé | 07 mars 2025 à 20:06
"Sans doute suis-je d'autant plus sensible à cette question que je n'ai jamais tourné en dérision le point de vue de Sandrine Rousseau sur "l'homme déconstruit"" (PB)
Il faudra m'expliquer ce que Madame Rousseau entend pas "homme déconstruit". Est-il déglingué ? Démembré ? Démoli ? Abattu ? Effondré (si je partageais la vie de Madame Rousseau, je le serais certainement !) ? Ruiné ? Je ne sais pas...
Moi j'ai mis pas mal d'années à me construire, j'en suis plutôt satisfait et mon épouse également :-).
"Même si j'ai toujours été incapable, grâce à l'adorable complaisance de mon épouse et à ma propre incompétence pas seulement fabriquée, de partager les tâches domestiques..." (PB)
Euh, non, cher Philippe ! Ce n'est pas une affaire de compétence ! Pour passer l'aspirateur, pas besoin de permis ni de CAP ! Y'a qu'à pousser !
Rédigé par : Alpi | 07 mars 2025 à 18:25
Deux mondes s'opposent : le beau monde de Marion Maréchal Le Pen et l’immonde gauchiste des EELV pastèque, LFI-Hamas nazislamistes féminazies.
La belle Marion blanche blonde face allah bête hideuse islamo facho gauchiste.
Voilà une vraie femme, Marion Maréchal Le Pen, très classe, d'une correction exemplaire, une élocution parfaite, des mots apaisés et tellement vrais. Ça nous change des beuglements des vomissures islamogauchisses.
De plus Marion est de droite, belle à faire pâlir de jalousie les horreurs gauchistes qu'on subit tous les jours sur nos écrans : Autain, Rousseau, Obono, Panot, Hassan, toutes ces féminazies escrolos LFI-Hamas rétrécies du bulbe.
Marion, un bol d'air salutaire qui peut nous faire entrevoir que tout n'est pas perdu dans ce foutoir extrême gauchiste et ces laideurs repoussantes haineuses violentes aux QI de civelles.
Face à la haine gauchiste, la belle Marion, une vraie Française patriote qui défend son pays et ses valeurs.
Sinon, si vous préférez les odeurs de fosses septiques nauséabondes, demandez le programme gauchiste :
Féminazisme, vaginocrature, masculophobie, émasculisme, dictature LGBT trans bio, écologisme extrême gauchiste dictatorial et leurs sodomites pédos…
Le tout saupoudré d’un bon progressisme décolonial déboulonniste repentiste aplaventriste.
C'est vous qui voyez !
Rédigé par : sylvain | 07 mars 2025 à 18:09
Le mythe grec d'Hestia et d'Hermès a vécu et avec lui la division des rôles sociaux conditionnée par le sexe. Le pouvoir n'est pas seulement affaire de sexe, il lui faut aussi, condition de son efficacité et de son acceptation, la rencontre d'une volonté et de compétences. La notion de pouvoir est en effet indissociable de la faculté d'agir dans le cadre d'un rapport avec les autres et cette faculté ne peut être mise en œuvre et reconnue sans volonté et sans compétence.
Or, ces qualités de volonté et de compétence ne sont nullement l'apanage du seul sexe masculin. Et si l'on associe souvent à la notion de pouvoir celles de force - qui n'est pas que physique ! -, d'autorité, de ténacité, reconnaissons que nombre de personnes de sexe féminin ne sont pas, loin s'en faut, dépourvues de ces dernières.
Il est en revanche important que dans l'exercice du pouvoir, les femmes ne se contentent pas d'une simple imitation de la pratique des hommes en la matière au risque de n'apporter ainsi aucune valeur ajoutée à cet exercice. Il faut au contraire qu'elles exercent ce pouvoir en y apportant leurs propres spécificités, leur propre sensibilité, élargissant ainsi les conditions d'exercice du pouvoir pour le plus grand bien de l'ensemble.
Rédigé par : Michel Deluré | 07 mars 2025 à 17:35
Du temps de la civilisation, au XIIe siècle, l'honneur du père était de guider sa famille dans le chemin de l'Esprit, et celui des femmes, des enfants, dans celui de la gloire.
Le clergé séculier catholique ne semble plus y comprendre grand-chose de plus que la populace, et les réguliers sont invités au silence.
Par contre, l'Islam frappe à nos portes pour y revenir. Alors que vaut-il mieux, la déchéance de l'humanité ou l'Islam ?
Trump va-t-il changer la donne aussi sur ce plan ? Poutine va-t-il montrer le chemin du retour ?
En attendant, la pègre au pouvoir nous pond des taxes sur les emballages de pain, et va ainsi occuper des fonctionnaires de plus.
Et il va encore se trouver des crétins pour l'élire. C'est la démocratie.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 07 mars 2025 à 16:17
Rappelons-nous la cérémonie woke des César 2024 et leur fort tropisme à gauche !
Le bal des pleureuses sur fond d'histoires de vicelards pédophiles et d’actrices fadasses.
Des pseudo-féministes à géométrie variable :
Pas un mot concernant les femmes torturées et violées lors du pogrom du 7 octobre 2023.
Pas un mot pour les femmes jeunes et celles de plus de 80 ans violées en France par des OQTF en totale liberté !
Pas un mot pour les femmes iraniennes et palestiniennes qui subissent le joug des islamistes phallocrates et misogynes.
Un déballage de chouineurs et chouineuses professionnels, faux humanistes gauchisants.
Boycott de ces tristes individus sans aucun intérêt !
Rédigé par : sylvain | 07 mars 2025 à 15:24
Ma mère, petite femme remarquable à bien des égards, avait coutume de dire et répéter : "L'homme commande, la femme gouverne". Devise qu'elle s'est d'ailleurs toujours appliquée rigoureusement à mettre en oeuvre à la maison. Et, dois-je reconnaître, qui marchait, après qu'elle y avait mis néanmoins une bonne dose de charme et de doigté, afin de ne point froisser la gent masculine, toujours persuadée d'une supériorité indéboulonnable et non susceptible d'être remise en cause parce que de droit divin !
Rédigé par : Axelle D | 07 mars 2025 à 13:41
@ Exilé
"...ce sont les femmes qui mènent le monde par le bout du nez ?"
À vue de nez, concéder n'est pas consentir, et vice au verso.
Rédigé par : sylvain | 07 mars 2025 à 13:40
"Même si j'ai toujours été incapable, grâce à l'adorable complaisance de mon épouse et à ma propre incompétence pas seulement fabriquée, de partager les tâches domestiques - les aimables diront que c'est une affaire de génération ! -, en revanche je n'ai jamais été épris de l'image de la virilité traditionnelle telle que le commun des citoyens l'appréhende." (PB)
Tsss... alors qu'il est manifeste que nos tendres compagnes, avec la charmante irrationalité qui les caractérise, sont bien incapables de se colleter avec la complexité technique d'un aspirateur ou d'une machine à laver contemporains...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 07 mars 2025 à 12:15
@ Achille | 07 mars 2025 à 07:37
« Je pense que nos féministes seraient mieux inspirées en militant d'abord sur le sort des femmes afghanes et iraniennes qui sont privées de tous leurs droits de citoyennes, en sont réduites à cacher leur corps devenu une chose honteuse et à servir de servantes obéissantes aux talibans. »
Qui vous dit qu'à la maison ces femmes afghanes ne se comportent pas en harpies et que parmi ces talibans on ne compte pas de nombreux hommes battus ?
À propos de talibans : l'USAID envoie 40 millions de dollars aux talibans !
https://www.youtube.com/watch?v=DLQc2dYikyU
Donald Trump avait tenté de mettre fin à des aides de ce type à des organisations terroristes, mais la Cour suprême étasunienne lui a ordonné de les rétablir...
Rédigé par : Exilé | 07 mars 2025 à 12:04
« Pouvoir des femmes, femmes de pouvoir ? » (PB)
Est-il vraiment nécessaire de remettre la question sur le tapis alors alors que depuis l'origine de l'humanité il est manifeste que ce sont les femmes qui mènent le monde par le bout du nez ?
Ce qui a d'ailleurs mal commencé avec mamie Ève...
Rédigé par : Exilé | 07 mars 2025 à 10:34
En tête du dîner de cons des féministes, je vote pour :
Une manif féminunuche gauchiste woke progressiste racialiste avec des slogans pro-Hamas. Il ne nous manque plus qu’une manif LGBT avec des slogans pro-talibans.
Quelques extraits de la soi-disant religion de paix et d'amour et plus particulièrement pour les féministes à géométrie variable :
"C’est le Coran qui avalise la polygamie, exige de l’épousée qu’elle soit vierge au mariage et de la femme qu’elle se soumette à son mari ("Elles [les femmes] sont votre champ de labour. Allez à votre champ comme vous l’entendez […]".) C’est la sourate 4 verset 34 qui autorise l’homme à frapper son épouse : "Les hommes ont autorité sur les femmes (…). Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance (…) frappez-les (…)"
Nos "féministes" au rabais baissent les yeux et mettent le voile devant cet islam rétrograde, défendent ce voile humiliant chez nous et ne défendent pas les femmes en Iran qui se font tabasser, torturer, emprisonner voire tuer pour se libérer de cette prison moyenâgeuse.
« Courage, fuyons ! Mettons les voiles ! »
Rédigé par : sylvain | 07 mars 2025 à 09:55
Quelle meilleure façon de commencer un commentaire sur le pouvoir des femmes, que de rappeler ce que raconte Maurice Druon dans "Les Rois maudits", tome 4 - "La loi des mâles". Il fait parler Gaucher V de Châtillon, connétable de France, comme s'il avait assisté à la scène :
"Messeigneurs, je vous le dis, la France est trop noble royaume pour tomber en quenouille et être remis à femelle. Les lis ne filent pas !"
Et c'est à partir de cette profonde remarque que la loi salique fut exhumée des profondeurs des traditions franques, parfaitement oubliées, et que fut décidé que seuls les mâles pouvaient exercer la noble fonction de roi, médiateur de l'au-delà et donc de droit divin.
Jamais une femme ne fut reine de droit divin, au moins nous avons échappé à ça.
Bon après avoir excité l'ire de certaines de nos féministes, revenons au temps présent.
Ce qui est insupportable et dangereux en même temps, c'est une évolution du comportement de certaines femmes de pouvoir, heureusement pas toutes.
Il n'y a pas longtemps, ce genre de femme exerçait le pouvoir simplement, à leur façon, bien ou mal.
Aujourd'hui elles se croient obligées de présenter cet exercice comme une revanche sur le patriarcat.
Et là on sort du politique pour rentrer dans le psychologique du ressentiment dont on se demande ce qu'il vient faire, puisque celles qui se répandent ainsi sont celles qui sont au pouvoir.
Je me souviens d'Élisabeth Borne présentant son arrivée comme Premier ministre - je ne dis pas Première - comme un espoir pour les petites filles. je cite de mémoire.
J'ai trouvé ce comportement ridicule, mesquin, indigne de la fonction, et ce n'est pas la pire dans le genre, encore qu'elle ne soit pas mal.
Il me semble, sans trop plonger dans des généralités que l'on pourrait toujours prendre en défaut par des cas particuliers, qu'il faut faire une différence entre la volonté de puissance et la volonté de pouvoir.
Quelle est la différence ?
La volonté de puissance est une projection extérieure au domaine dans lequel le pouvoir a été concédé, alors que la volonté de pouvoir reste dans ce domaine sans projection.
La volonté de puissance relèverait plutôt, à mon avis, des hommes, avec le corollaire de l'hubris dévastateur.
La volonté de pouvoir, qui est différente, relève plutôt de la psychologie féminine, avec un pouvoir qui s'exercerait plus subtilement, ce qui ne veut pas dire plus faiblement.
On parle de Dame de fer, par exemple, dans le cas de Margaret Thatcher, intraitable dans l'exercice du pouvoir, sans projection autre que l'indispensable défense du territoire, même éloigné.
C'est comme ça que je vois les choses. Mesdames, le débat est ouvert.
Rédigé par : Tipaza | 07 mars 2025 à 09:10
J’avoue que je préfère les femmes des années 80 chantées par Michel Sardou à celles de notre époque actuelle. En particulier les écolos-féministes qui ne voient dans l’homme que le mâle dominateur qui se réserve les meilleures places dans la société, ne laissant aux femmes que les postes subalternes. Ce qui est faux, notamment en France où les postes à haute responsabilité sont confiés depuis des lustres aux femmes qui le méritent.
Je pense que nos féministes seraient mieux inspirées en militant d'abord sur le sort des femmes afghanes et iraniennes qui sont privées de tous leurs droits de citoyennes, en sont réduites à cacher leur corps devenu une chose honteuse et à servir de servantes obéissantes aux talibans.
Mais on ne les entend pas beaucoup sur le sujet...
Rédigé par : Achille | 07 mars 2025 à 07:37
Valérie Toranian, une bien belle amazone, un beau compliment de ma part.
Rien de pire et de plus dangereux que les femmes qui à un certain âge ont perdu leurs charmes, qu'elles n'ont jamais eu probablement, et qui sont sèches.
Sécheresse physique qui exprime souvent, toujours (?) leur sécheresse de coeur.
Et quel plus bel exemple, bel au sens de démonstratif, que celui de la triste Ursula von der Leyen, à qui on a envie de chanter la chanson de Brassens :
"Remballe tes os, ma mie,
Tu es bien trop maigrelette,
Je suis un bon vivant... etc."
Je reviendrai, il est bien tard, sinon il y a bien longtemps que nos aïeux savaient à quoi s'en tenir sur le pouvoir des femmes, eux qui constataient que :
"Ce que femme veut, Dieu le veut !"
J'ajouterai tout de même un codicille à cet adage : ce que femme veut... avec tendresse.
Le pouvoir des femmes me laisse indifférent, c'est la perte de tendresse telle que je la perçois, que je regrette le plus dans la relation homme-femme du monde moderne. Enfin il me semble.
Rédigé par : Tipaza | 06 mars 2025 à 23:34